La dernière de Lièvremont ?

A l'aube d'un match autant compliqué que capital contre le XV de la Rose, Marc Lievremont a dévoilé la composition de l'équipe de France.

Écris toi aussi un article et gagne des cadeaux ! Le match de samedi face au Tonga n'est toujours pas oublié, mais il y a un quart de finale à jouer contre nos meilleurs ennemis, les anglais (samedi à 9h30 heure locale). Lundi soir, le selectionneur Marc Lièvremont a dévoilé ce qui pourrait s'avérer être la dernière sous l'ère Lievremont (il sera remplacé après la coupe du monde par l'ex-entraineur toulonnais Philippe Saint-André. C'est un selectionneur plutôt apaisé qui nous est apparu, après deux dernieres semaine que nous qualifierons de tendues Peu de changements Après la déroute contre le Tonga que l'on appelle " Samedi noir ", nous nous attendions à de nombreux remplacements. Et pour cause, pas un seul français n'a fait un bon match. Mis à part, peut-être, Maxime Médard qui n'a pas été flamboyant, mais, pas désastreux. Ce fut une surprise d'apprendre que le staff n'avait pocédé qu'à simplement deux modifications. En première ligne, Nicolas Mas fera son grand retour, en lieu et place du castrais Luc Ducalcon, après son match baclé du week-end dernier. Un biarrot peu en cacher un autre Depuis le début de la compétition, le secteur le plus chamboulé est la troisième ligne. C'est un peu la "troisième ligne academy" ! Un jour c'est Louis Picamoles, la semaine d'après, c'est Raphael Lakafia et maintenant c'est Imanol Harinordoquy. Ce dernier traité pourtant de pestiféré, après le premier match contre le Japon (le 10 Septembre). Et voilà qu'il revient pour la rencontre la plus importante de cette coupe du monde. Preuve qu'il est de plus en plus compliqué de comprendre Mr Marc Lievremont. La charnière conservée Avant la révélation de cette composition, l'autre interrogation était la charnière. Débat qui se porte autant sur le demi de mêlée que sur le demi d'ouverture. Au poste de numéro 10, Lievremont continue de faire confiance au clermontois Morgan Parra. Pourtant, il a encore prouvé face aux tongiens, qu'il ne faisait pas le poids offensivement et défensivement. Sans oublier Jean-Marc Doussain, mais le toulousain n'est vraiment pas dans les petits papiens du selectionneur national.

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