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Inde : féminisme en danger

Peur, frustration, insécurité, colère, tels sont les messages que vous font lires les visages des femmes en Inde, quand vous les rencontrées pour la première fois et surtout quand vous êtes hommes. Les femmes depuis des années en Inde vivent dans un réel empire du viol, elles sont victimes des viols individuels et collectifs à répétition.


Peur, frustration, insécurité, colère, tels sont les messages que vous font lires les visages des femmes en Inde, quand vous les rencontrées pour la première fois et surtout quand vous êtes hommes. Les femmes depuis des années en Inde vivent dans un réel empire du viol, elles sont victimes des viols individuels et collectifs à répétition. Pour se sécuriser, elles côtoient les hommes avec grande distance et mépris. Durant les dix dernières années, la situation du viol a progressée et a prit de la vitesse. Au moins deux cas de viol est reporté par jour sans compter les femmes qui choisissent la voie du silence afin de préserver leurs images dans la société. Les femmes font face à une situation de peur et de frustration, elles ne se sentent pas à l'aise dans la société et évite la fréquentation des milieux isolés mais, malgré cela les hommes animaux sont partout, partant de la rue au monde du travail. La longue marche vers la tolérance, le respect et l'acceptation de la femme n'est pas encore achevé en Inde.

La capitale New Delhi qui pourtant fait image de modernité reste miné par le viol et demeure le théâtre des scenarios inhumaines de viol, des viols sauvages et ravageurs. La dignité des femmes est atteinte et leur valeur n'est pas respectée par les hommes. Les femmes retrouvent les menaces sexuelles sur la rue comme dans le monde du travail, certains d'entre elles prennent le courage de reporté à la police mais qui elle reste naïve et impuissantes face a cette mêlé du viol au pays. Au mois de décembre 2012 par exemple, une demoiselle s'est donner la mort après avoir était victime d'un viol collectif et qu'après avoir saisi la police avec preuves sur ses agresseurs, la police la demande de choisir un époux parmi ces agresseurs, pour éviter la montée de la rumeur et ainsi faire appel à la fureur des gens déjà fatigué de faire face a cette antivaleur de viol.

Le dernier en date remonte au 16 décembre 2012, Une jeune étudiante de 23 ans en physiothérapie revenant d'une salle de cinéma avec son ami se sont vu piégé est sont tombés dans un faux bus de transport, l'homme est battu qui le cause un évanouissement, et la fille violée par plus de sept hommes, qui ne lui ont laissé aucun chance de survie, en détruisant ses organes génitaux, et comme pour faire taire la vérité, les agresseurs introduisirent un objet dans son vagin pour ôter complètement la vie à la victime. Les femmes en Inde sont souvent victimes d'un viol sauvage et ravageur.

Ce dernier cas a poussé à l'énervement et à la colère du grand public sur l'inefficacité du gouvernement à pouvoir mettre in terme à ce fléau qui terrasse le sous continent et met à nu le pays. Le cas de la jeune étudiante a laissé place à la frustration des jeunes et à des manifestations hostiles contre le pouvoir, mais aussi l'attention du grand monde qui affiche son regret, mais surtout ses inquiétudes sur les expatriés en Inde. Le peuple indien est dans la fureur du faite que le gouvernement échoue à établir un Etat des droits, de considération mutuel et de respect aux droits des femmes qui se voient tout les jours violer et les femmes continuent à payer le lourd salaire du viol.

Aujourd'hui en Inde, si vous êtes hommes et que vous garder votre regard pendant un bon temps sur une femme, pour ce protéger de l'inconnu, la femme change d'humeur, ce qui veut dire qu'elles ne se sentent pas en sécurité du tout. Ni la police, ni le gouvernement n'arrivent à construire un environnement sain et sûr pour les femmes. Les ambassades ont quant à elle interpellé leurs expatriés à faire preuve de plus de prudence, à fréquenter les milieux reculer de la capitale et Delhi, et pour les autres à éviter carrément la fréquentation du pays, les femmes plus particulièrement.

Quelques mois avant le cas sauvage du viol de la physiothérapeute, les politiciens pointaient fermement du doigt, la masse analphabète du pays comme faiseurs du viol et responsable des viols qui tourmentent le pays. A l'époque, quand nous regardions la situation du pays avec ses soixante pourcent d'analphabètes, l'opinion semblait évidente. Le temps par contre a finis par prouver le contraire aux grands senseurs indiens. Le gouvernement n'avait jamais analysé le phénomène dans sa profondeur pour tomber à une telle conclusion qui protégeait les intellectuelles et rejetait la balle aux non éduqués. Deux semaines ont suffit pour mettre de la lumière sur la question avant que le viol sauvage de la jeune thérapeute ne balance le pays. Un scenario est monté dans tous les journaux du pays. Une jeune dame a était victime du viol lors d'une consultation par un docteur gynécologue. La femme venu en consultation dans son cabinet à fait face à une situation outrageante et n'a pas hésiter de reporté l'affaire dans les medias. Les carottes ont brulées, cette affaire à réveillée la conscience du pays et mit fin aux conclusions insensées du gouvernement qui laissaient de côté les réels responsables des viols.

Le docteur était jeune et célibataire, cette histoire a inquiétée l'opinion publique sur les vrais raisons derrière cette honte et humiliation des femmes en Inde. Les fais se sont succédés car, deux semaines après le cas du docteur et de la dame venue en consultation, c'était le tour d'une brillante jeune aspirante thérapeute. Ce dernier était un coup dur au pays car, les étudiants sont descendus sur la rue et vous avez surement entendu parler de ce cas dans les nouvelles. La jeune thérapeute, après avoir subit plus des quarte interventions chirurgicales, les médecins jugeaient compliquer son cas et prirent la décision de transférer la jeune demoiselle à Singapour pour des interventions avancées, qui malheureusement emporta la vie de la jeune theurapete. Mais la probabilité de survie pour la jeune demoiselle était moindre, j'ai entretenue une discussion avec un passant qui m'a laissé entendre que ce transfert était une stratégie du gouvernement car le décès de la jeune thérapeute était certain et qu'il faillais éviter des émeutes dans le pays, certains des gens que j'a eu a questionner m'ont laissés entendre que la jeune serait déjà décédée mais que la nouvelle devait choqué le pays, toutes les options étaient prises pour faire mur à la population mais qui malheureusement à tourner en rond.

La pauvre thérapeute aimait autant la vie, dans ses derniers mots elle racontait qu'elle voulait vivre, qu'elle voulait servir d'exemple et de consacrer le reste de sa vie au combat sur les droits des femmes en Inde. La vie ne lui a malheureusement pas laissé cette chance, la situation était dramatique, le cerveau de la thérapeute fonctionnait encore mais son corps entier était détruit et déjà éteint. Les tentatives sur un remplacement de son grand intestin après être complètement détruit par les agresseurs qui introduisit un objet de taille dans son vagin après le viol. Malgré le jeu politique du gouvernement, des manifestations continuent et sont appelés à montées en vitesses les semaines à venir les jeunes réclament justice.
L'histoire de la jeune dame a blessé plus d'un en Inde surement l'histoire la plus choquante de cette fin d'année. Les professeurs de la thérapeute témoignaient qu'elle était une demoiselle d'un si grande intelligence qui tenait à servir de quelque chose dans l'histoire du pays.

Au 28 décembre 2012, à l'annonce du décès de la jeune étudiante, le pays entier est monté aux nerfs. Les indiens ont affichés leur soutient à la jeune étudiante, l'affaire a été très médiatisée. On pouvait lire ce soir là une inquiétude grandissante sur l'avenir du pays. Ce soir-là à l'India Gate, des banderoles ce soir-là réclamaient la peine capitale sur ce type d'agresseurs qui déshonorent les femmes, d'autres par contre réclamaient que la culture du pays soit revue. Mais pourquoi cette dernière réclamation ? Peut-on réécrire la culture d'un pays ? La réponse est oui car les choses sont appelées à changer avec le temps. Nombreux prescrits en Inde dates de plus de 5000 années et n'ont jamais étaient revisitées alors qu'ils sont devenus obsolètes et à fortiori pas applicable au monde d'aujourd'hui.

Les causes derrière ces viols collectifs sont d'ordre social et culturel plutôt que politique. Renforcer la loi sur les agresseurs, crée plus des pénalités, nous doutons force que la stratégie conduises à des techniques nouvelles comme il en était le cas avec les lois précédente. Des mois encore, personne ne pouvait penser qu'un viol pouvait s'opérer dans un bus de transport public, le fait était complètement négliger, mais voilà la nouvelle stratégie du viol, violer une femme dans un bus mouvant en complicité avec le chauffeur, et parcourir plus de quatre postes de police.

Un adage Français dit  :  " Si voulez changer le monde, changez d'abord votre regard" C'est tout ce que nécessite le grand bassin de l'Inde, un changement de perception. Que les parents, les éducateurs et la société changent leurs manières de voir sur le sexe avant le mariage, sur la liberté des jeunes et la libéralisation du droit au copinage. L'humanité traverse une époque de grand tourbillon, il est simple de constater que de nos jours, si les vieux et les jeunes qui représentent les deux forces présentes ne coopèrent pas, il s'affrontera surement. Quand on analyse la situation des viols en Inde dans sa profondeur, on comprend que le pays est victime d'un radicalisme systématique dans ses pratiques et surtout de ses limites imposées dans la vie des jeunes, et ces agresseurs ne sont autre chose que la résultante de ce radicalisme. Nous craignons fort que la peine de mort risque de ne pas sauver l'Inde, mis plutôt poussée les auteurs à plus des tactiques et exposer la femme indienne à plus de danger. La moindre erreur de la part du gouvernement fera plus des cas et risque de faire du pays un milieu infréquentable. Les problèmes méritent d'être analysés dans tous leurs aspects, cela ne sert vraiment à rien d'implémenter une loi qui risque de ne servir à rien, mais plutôt de dramatiser la situation des femmes déjà déplorable.

Il n'existe pas sur terre un seul pays comme l'Inde où les droits des jeunes sont opprimés jusqu'au refus de leur octroyer une vie sexuelle. Comme nous l'avions dites ci-haut, les jeunes ont plus besoin des modèles que des critique et qu'il faut aujourd'hui les apprendre comment se préserver plutôt qu'à leurs imposés une abstinence et contenance qui ne synchronisent pas avec le monde d'aujourd'hui. Cela ne fait qu'exposer les jeunes à plus d'hypocrisies comme la masturbation et le changement d'orientation sexuelle. Les secret d'hier ne sont plus restés les mêmes, les enfants veulent grandir et aux adultes de leurs accordés la chance ou d'accepter le pire.

Les causes derrière ces désastres à répétition en Inde qui vulnérabilise l'image de la femme Indienne, sont à recherchées dans la culture du pays lui-même. Nombreux dictionnaire ont dans l'histoire définis la culture comme la manière de vivre d'un peuple et, nous somme rassuré que les réponses aux problèmes ne peuvent qu'être aux alentours de la culture du pays. L'Inde est l'une des seules nations au monde où règne encore le conservatisme culturel. La culture indienne est tournée vers elle-même et à défaut fermée à toutes les autres cultures. En Inde, le passé cohabite encore avec le présent quoi que le modernisme fonce son chemin dans le pays. L'Inde moderne demeure du moins très loin du désirable et de l'acceptable. En Inde comme dans tous les autres pays d'Asie, le contact physique entre personnes de sexes opposés est éviter mais, en Inde à la place d'être une simple question de discipline personnelle, elle fait objet de régulation et de haute surveillance au niveau de la familiale et de la société.

En Inde, les relations affectueuses telles que le copinage et le concubinage ne sont pas tolérées. Les faits sont perçus comme des scandales. Les libertés personnelles des individus sont limitées dans la société, vous serez surpris de constater que les individus sont par exemple curieux de connaitre à tout prix la causerie qu'entretiendraient deux individus de sexes opposé sur un chemin. Les atteintes à la liberté individuelle des individus sont autorisées et garantis par les lois traditionnelles et communautaires. Pour les jeunes, le pays effraie, le pays s'est transformer à une grande prison, où les citoyens vivent en libertés conditionnelles. Mais eux non plus ne peuvent changer quelque chose si pas en payer le prix car, le passé cohabite encore avec le présent dans le pays. Les lois traditionnelles et ancestrales sont immuables.

Aucune famille n'est prête à accepter de sa fille ou de son fils le copinage, cette partie de la vie qui caractérise la jeunesse dans notre monde est simplement omise en Inde. Aucun parent ne tolère le copinage pour ses enfants, que ce soit les analphabètes où les intellectuel. Ces types des relations partent sévèrement à l'encontre des lois religieuses, et souvent de l'Hindouisme la religion populaire en Inde. L'Hindouisme étant elle-même une vieille tradition vieille de plus de cinq mille ans et ruinée des superstitions et des pratiques qui ne synchronisent plus avec le monde de nos jours, mais qui malheureusement contrôle encore le peuple Indien.

Nous avons dans notre monde par exemple pris coutume de se dire bonjour d'un léger baisé pour exprimé notre affection envers les autres. Cette pratique en Inde est aussi vu comme de l'occidentalisation, deux personnes se saluant ainsi peuvent attirés l'attention de tout les public. Ces gestes d'amour sont supposés rester cachés. Mais qu'en est-il des jeunes qui aujourd'hui font face à la mondialisation et à l'internet ? Ces jeunes qui ont devant eux la culture européenne et américaine que le pays cherchent à esquiver ? Les jeunes trouves très difficiles ces genres des barrières sociaux, ils veulent partir pour une vie meilleure et ouverte, mais seulement ne peuvent pas se prononcer publiquement, où encore ils sont condamner à la double vie. Dire bonjour à son prochain est un scandale, le contact physique est éviter, les salutations commences et se termines par la main et les gestes de la tête pour hommes et femmes.

Afin de limiter les jeunes qui facilement avec l'occidentalisation des medias en Inde, ont la facilité de se retrouver dans des coups des foudres et des amours jeunes, ou encore à des folies affectives sur la rue, les Etats ont initiés une police amoureuse avec mission spéciale de reporté ces genres des cas publics. Un de mes amis indien m'a dit : Nous nous rendons comptes finalement à quel point notre propre cultures nous tues, quand plus de 80% des jeunes sont condamner à la double vie et à l'hypocrisie. La vie du pays est couper en deux, les hommes d'une part et les femmes d'une autres part, mais question est alors comment la fraternité peut exister pareille société ? Les hommes doivent apprendre à plus se côtoyer pour plus se protéger mutuellement.

Dans les transports publics comme les hommes et femmes sont placés dans des wagons différents, bref, toutes ces restrictions ont exposés le pays à une hypocrisie généralisé qui a couté les agressions sexuelles aux femmes. Pour s'effacer du mur parentale et familiale, les jeunes se sont tournés au jeu de cache-cache, des relations amoureuses occultes ont prit naissance, et des arrières ces relations se sont produits des tragédies amères. Il arrive dans ka plus part des cas que les jeunes demoiselles tombent enceinte brusquement, et elles savent qu'aucune famille n'est prêt a accepter cette honte car, selon l'hindouisme la femme doit connaitre le sexe au mariage, et ce prescrit est inviolable et, le premier choix qui monte à l'esprit des jeunes c'est l'avortement.

Comme par surprise, la nation à la religion la plus conservatrice serait la plus grande nation où se pratique les avortements. Dans la tradition hindoue, une femme qui tombe enceinte avant le mariage, déshonores ses parents, ce péché est impardonnable. Une pareille demoiselle risque l'expulsion de la famille, plus pire encore une malédiction, de même une fille dont les parents découvres une vie sexuelle avant le mariage risque de ne jamais se marier. Les pratiques radicales de l'Hindouisme et le conservatisme culturel ont exposés le pays à un niveau d'hypocrisie généralisée. En Inde, vous êtes impressionnés de la participation des jeunes aux night clubs, plus de 70% des jeunes sont condamnés à cette vie là, ils sont à la recherche des moyens pour mieux exprimés leurs désirs, une vie à l'insu du monde des parents.

La virginité des demoiselles est contrôlée par les mères jusqu'au mariage pour s'assurer que les dérives du sexe avant le mariage soit éviter par la jeune demoiselle. Le sexe est un sujet tabou en Inde contrairement à notre monde. Les mères n'entretiennent pas une relation étroite avec leurs filles, les sujets sensibles qui permettront à la demoiselle d'évoluer sont éviter par les mères. Dans notre monde, la mère est la meilleure amie de sa vie, elle lui enseigne et la prépare pour la vie adulte, ici les jeunes sont délaissés à eux-mêmes, ils vivent un abandon parental condamné à se développer eux-mêmes et à tout apprendre sur la rue. Ce n'est pas du tout un drame dans notre monde, une demoiselle qui affirme a ses parents avoir entretenue une liaison amoureuse, une mère dans notre monde enseignerait à sa fille comment se préserver, nous le savons si bien que le sexe est un des pouvoirs naturels qu'on ne peut pas refuser aux individus et surtout aux jeunes.

Il faudrait enseignait aux jeunes comment se préserver et non comment se contenir car le pouvoir du sexe peut être au-delà du contrôle personnel. En Inde les parents savent dicter aux jeunes leur désir mais ne savent pas comprendre les demandes des jeunes. Il est aussi simple de comprendre qu'aussi longtemps la question du sexe restera un sujet tabou entre parents et enfants le pays ne passera jamais de la fièvre du viol. La question sur le sexe et les relations amoureuses pour le jeune doit passé pour partie intégrante de la vie jeunesse oblige.

Les jeunes veulent plus de libertés pour mieux s'exprimer et exposer leurs passions, et loin d'être vu comme un péché, le désir du sexe est un sentiment plutôt positif et naturel qu'aucune main ne peut pas stopper car, comment dicter à un jeune-homme de 23 ans l'ordre de ne pas pratiquait le sexe ? La même question peut être soulevé pour les demoiselles, comme nous l'avions explicité au départ, dans le monde actuel il est serait préférable d'enseigner aux jeunes comment se préserver plutôt que de se contenir, une résolution allant dans ce sens là ne peut tenir de nos jours, mais c'est pourtant ce à quoi le gouvernement Indien pose toute sa confiance.

Quand on écoutait ces gens qui réclamaient la peine de mort sur les agresseurs de ce genre à l'India Gate, et le gouvernement s'entrainant dans la mêlé de la foule, nous dissions que la vraie situation, les réels volets du problème ont étaient laisser de côté. Le gouvernement veut aller dans le sens de punir plutôt que d'analysé le phénomène afin de poser des solutions à long terme qui serviront même les générations à venir. Nous le disions ouvertement qu'aussi longtemps que personne n'est prêt à tolérer personne, personne ne sera le gardien de personne. Aussi longtemps que se promenait sur la rue avec son petit ami ou sa petite amie sera vu de scandale, aussi longtemps que les libertés individuels ne seront pas respectés, les gens continueront à s'exposer à une vie à deux faces qui risque de faire souffrir le pays dans le long terme.

Aussi longtemps qu'embrasser sa bienaimée sur la rue sera vu de péché, la mentalité des gens ne changera pas. Aussi longtemps que dire bonjour à sa bienaimée d'un léger baiser en public sera vu de scandale et d'enfreint aux lois de l'hindouisme, le changement sera loin de devenir une réalité. Le monde traverse une époque où les hommes demandent plus de libertés et des respects mutuels. On échouera plutôt d'offrir une vraie vie aux femmes en Inde et leur situation demeurera une situation de misère car le viol ne quittera pas le pays.

Le conservatisme culturel a lâché ses fruits dans la société indienne sont  : C'est le viol, l'homosexualité, la masturbation et l'avortement. Quatre grandes résultantes du refus de l'octroi de la liberté aux jeunes en Inde. Détrompez-vous la loi n'est pas plus intelligente et plus forte que ceux qui la créée, ça veut dire tout simplement qu'aussi longtemps que la liberté des gens sera emprisonnée, les gens feront de tout leur nécessaire pour surpasser la loi et se poser au dessus de ses chevets. Ici par exemple, puisque les relations amoureuses ne sont pas autorisées, puisque les parents ne veulent pas entendre parler du sexe de la bouche de leurs enfants avant le mariage, puisque deux personnes des sexes opposés conversant sur la rue sont regarder étrangement.

Les jeunes veulent passer inaperçus du grand monde, ils ne veulent pas être critiqué cela peut valoir leur vie. L'Inde est aujourd'hui est l'un des pays à héberger un grand nombre d'homosexuels. Les jeunes en Inde ne changent pas d'orientation par envie ou passion mais plutôt par contrainte comme nous l'avions soulignés dans nos discourt précédents. Les jeunes marcheront au-delà de toute attente car, ce sont les hommes qui forment les lois et non l'inverse. Le refus de l'acceptation des relations avec les personnes de sexe opposés a ouvert un pont aux relations amoureuses des personnes de même sexe car, ils se disent bien passer inaperçus du grand public. Et ceux qui ne peuvent obtenir ce qu'ils veulent joue à la force donc le viol pour se procurer du sexe, les jeunes les savent tout aussi qu'en Inde, lorsque deux personnes de sexes opposés communiquent sur un chemin, cela donne naissance à un vrai spectacle et provoque l'attention de tout le monde. Mais quand deux personnes de même sexe entretiennent une relation public, ils peuvent réussir à passer inaperçus du grand public, sur la rue comme sur le métro, ils peuvent jouer à leurs folies amoureuse sans aucune barrière, voilà comment ces qui étaient hier des simples interdictions ont étaient déviés intelligemment par les jeunes et a laisser place à une troisième culture qui risque d'exploser bientôt.
Nombreux jeunes ont choisi la masturbation comme remède pour passer inaperçus de la barrière sexuel imposée aux jeunes avant le mariage, seul l'encadrement de la jeunesse dans un monde libre donne naissance a des vrais hommes de droit.

Nous disions au départ que les solutions à ce problème du viol ne sont pas d'ordre juridique mais plutôt d'ordre social. La famille est la base d'une société, une pyramide ne peut tenir si sa base n'est pas solide, cela pour dire qu'une nation ne peut pas résisté si la famille n'est pas solide et éveillée. Il faudrait construire la mentalité du peuple avec l'éducation sexuelle, construire un monde libre et ouvert, où les parents coopèrent avec leurs enfants sans tabous, les indiens veulent d'un pays où les individus peuvent vivres et exprimés leurs sentiments librement sans contraintes. Quand nous parlons de ces valeurs, la majorité vieille surtout à tendance à faire passer cela en occidentalisation de la culture indienne, ignorant que ces valeurs font aujourd'hui parti intégrante de la vie des hommes et formes leurs droits humains. La déclaration universel des droits de l'homme exiges que les humains jouissent de la liberté d'expression et de la liberté du choix, le sexe peut être un moyen pour exprimer son amour envers quelqu'un, l'amour est une expression libre de nos sentiments. Quand le gouvernement indien comprendra ces choses et stopperait elle de violé les libertés individuels du peuple, quand les familles comprendrons que les enfants sont libre d'obtenir ce qu'ils veulent, que les enfants ont plus besoins des modèles que des critiques, le vent du changement soufflera et le viol prendra fin.

Les expatriées doivent restées prudentes et vigilantes lors de leurs séjours dans le pays. Elles doivent éviter la fréquentation des milieux reculés du pays et les fin fonds de la capitale Delhi. Pour celle qui vont à Ashram, elles doivent savoir que la tolérance sur les femmes est vraiment minime et c'est là que les abus graves sur les femmes sont rencontrés. Les expatriées sont appelées d'empruntées les services gérés par les femmes, comme les taxis conduits par les femmes, la police féminine et les femmes pour les services ménager. Les femmes expatriées doivent aussi éviter de faire la promenade la nuit dans le pays car l'insécurité est grandissante. Elles doivent éviter le port des tenues sensibles et sensuelles car le moral du peuple n'est pas encore très ouvert et développé. Certains de ces hommes indiens qui se lancent à ces genres des pratiques illicites que la justice a eu à interrogé, se disent être attirer par les tenues sensuelles des femmes, ils croient que tout corps exposé est à vendre. Les expatriés doivent aussi éviter le métro quand il est plein pour se tenir à l'abri des attouchements et harcèlements sexuels.
Richie Ronsard
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L'auteur : Richie Lontulungu
34 ans, Kinshasa (Congo).
Publié le 17 janvier 2013
Modifié le 13 janvier 2013
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