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Facebook cinquante ans plus tard, un roman de pabloemma à découvrir

Êtes-vous déjà demandé ce que deviendront vos multiples "likes" d'ici à plusieurs années et quel serait leurs impactes sur votre vie ?


Eh bien c'est l'aventure dans laquelle va se lancer un jeune garçon âgé de treize ans à peine et résidant à Manhattan aux Etats-Unis. Robin est un jeune garçon passionné de loisir et issus d'une famille de cinq enfants dont lui l'ainé. Après qu'ils aient passés plusieurs années dans une ville qui les a vu grandir, son père, soucieux de leurs avenirs et souhaitant les voir plus épanouit, décida alors déménager pour aménager dans une autre ville qui pourrait les être favorable. C'est à partir de là qu'ils commencèrent à trouver véritablement leurs plaisir jusqu'au jour où ils découvrent un réseau social qui vient d'être fondé et mit à la disposition du public.
Curieux d'en savoir plus, Robin décide se lancer dans cet univers qui jour après jour l'amène à se poser des questions pour lesquelles il finira alors par vouloir trouver des réponses. Durant ses multiples recherches intenses, il y va plus loin et découvre un mystère auquel personne ne s'y attendait et qui, sans doute devra selon lui bouleverser la vie de tout un chacun plus tard. Une découverte qui sera synonyme du début d'un long combat qu'il tentera de supprimer en espérant que les uns et les autres via ses conseilles arrivent à se détourner de ce drame qui pourrait survenir. Pourra t-il parvenir à les dissuader à propos de ce qui se prépare ? Et quel est ce mystère à découvrir ? C'est ce qui est à savoir tout au long de la lecture de ce roman formidable.


Le départ de Manhattan

Imaginez un seul instant que ceux pour lequel vous vous étiez totalement investies fasse comme par miracle l'objet de votre bonheur et que vous n'ayez plus l'envie d'aller voir ailleurs. Que ferriez-vous ? Cela débute dans les années quatre vingt dix en ce temps, la vie n'était pas aussi belle qu'on pourrait le croire. Nous vivions dans un coin populaire de Manhattan avec nos parents puis nos amis avec lesquels nous rêvions d'une seule chose : le bonheur pour des lendemains meilleurs. Manhattan était d'une ville très belle où les jeunes ne pouvaient s'empêcher de croire au rêve Américain et cela sans que personne n'ait à aller voir ailleurs. Les cabines téléphoniques étant classique, étaient les seules endroits qui pouvaient nous permettre de joindre qui que ce soit à travers l'autre bout du monde. Malgré que ce système avec été mit en place, les gens n'y étaient pas tellement accro juste pour le fait que cela demandait à se déplacer et parfois même, à faire de longue distance.

Par ailleurs, d'autres n'avaient pas le choix c'était le seul moyen efficace pour dialoguer. La vie était si simple les femmes n'avaient pas besoin d'observer longuement leur miroir pour savoir qu'elles sont belles. L'économie du pays était en pleine croissance et avait juste besoin des gens capables de la mettre au plus haut. On vivait une vie vraiment hors du commun, je pouvais rêver jour après jour avoir une vie heureuse sans être contraint de faire quoi que ce soit. Par exemple, si je voulais m'acheter un vêtement malgré mon très jeune âge, j'allais dans un magasin le plus proche et je m'entendais avec le vendeur tout en ayant pas peur de se faire arnaqué. On voyait des gens avoir l'estime de soit et réussir à de gros projets. A Manhattan comme ailleurs, tout le monde avait l'air serein et de gauche à droite, on pouvait entendre des noms comme : Que dieu bénisse l'Amérique et tous les autres pays sur terre.

J'avais douze ans à cette époque et l'on pouvait voir sur mon visage quelqu'un qui à de l'amour pour des belles choses. Lorsque je parle des belles choses, il s'agit bien évidemment des voitures, des maisons, des tenues vestimentaires les mieux coquines au monde. A cette époque, mon père était coursier bancaire et ma mère restauratrice. Nous étions une famille qui n'avait rien à envier des autres ; la paix et la joie était les deux choses qui nous amenaient à vivre dans l'harmonie. On envisageait aller vivre plus tard dans les cartiers chics ou alors dans d'autres grandes villes ; constitué d'une famille de six enfants dont moi l'ainé, j'avais pour mission tout les matins d'aller les accompagner dans leur établissement scolaire ensuite m'apprêter pour y aller à mon tour. On n'y allait grâce à un bus chargé de nous transporter tous les matins dès sept heures et lorsque les vacances se pointaient, on envoyait des cartes postales à nos grands parents question de les saluer ou d'aller passer quelques jours avec eux. Nous vivions une vie heureuse et cela se laissait entrevoir sur nos visages presque toujours souriants. Quand on n'allait pas voir nos grand parents, notre mère nos amenait faire du manège. Mon père quant à lui était quelqu'un de rigoureux et cela faisait parti des indices qui nous faisaient éprouver assez d'amour pour lui. Je semblais être le plus intelligent et le plus sage de mes frères tel que disaient les amis de mon père. Après être rentré des classes, ils jouaient aux billes pendant que moi, je préférais me faire cultivé en écoutant des émissions radios le soir bien après que j'ai fini de lire mes cahiers et faire mes devoirs.
Je voulais devenir un homme instruit puis une lanterne pour ma famille. On avait pas assez de distraction tout au moins des véritables choses pour nous épanouir et vu notre âge, nos parents ne pouvaient tolérer nous voir se promener de domicile en domicile à la recherche d'un compagnon pour agrémenter mieux nos journées. Alors, il arrivait de fois qu'on erre là à ne rien faire. C'était vraiment agaçant par moment de compter ses doigts à longueur de journée et s'abreuver de l'oisiveté. Il fallait que j'invente des jeux pour pouvoir nous apporter un peu plus de distraction même si à un moment donné nous en avions mard de la routine. Fasse à cela, je devenais presque malade à tout les coups car il me fallait à chaque fois essayé de trouver quelque chose de nouveau


Enquête sur la mort de Jules

Heureusement encore, l'homme qui nous avait servit de guide jusqu'ici continuait d'être coopératif en donnant des idées géniales nous permettant de passer par un chemin presque pas sur surveillance. Après être arrivé à bon port, il était question pour nous d'ouvrir les enquêtes afin de savoir les circonstances exactes de la mort de jules question de savoir s'il aurait été pendu par lui-même ou pas et pour le faire, on devait aller auprès des autorités compétentes. Selon les rumeurs que nous avions eu, il aurait été pendu par des gens de mauvaise foi. Un témoignage qui se confirma Plus loin, avec les voisins qui nous affirmait avoir entendu des gens menacer à haute voix un individu qui essayait de s'enfuir. Ils étaient vêtus de noir avec des visages cagoulés tel qu'on nous le disait. Ils s'étaient en pris à jules après lui avoir tout d'abord battu de verge et en suite trainé à même le sol.
Ce que nous pouvions avoir comme indices par la suite, c'est la perte de sa carte d'identité de l'un de ses geôliers ce jour là retrouvé par un monsieur qui prit soin de la conservé pour ensuite nous la donner. Un fait qui vint mettre un peu plus de flamme dans les enquêtes concernant mon petit frère décédé. Ces présumés assassins couraient toujours mais au moins, nous avions un indices qui nous permettait de pouvoir les rattraper un jour. Fasse à cette tragédie, nous étions dans l'obligation de mettre une croix sur le reste des recherches afin de se consacrer tout d'abord à la situation actuelle celle d'organiser les funérailles de jules et de l'accompagner jusqu'à sa dernière demeure. Un moment émouvant que nous n'avions jamais souhaité vivre. On n'arriva néanmoins à le faire dans un endroit bien retiré de la ou nous avions grandi. Durant toute cette période, moi et mes frères, ne cessions de nous alarmer car on venait de perdre quelqu'un de très cher.

En même temps, nos pensées allaient également auprès de tous ceux que nous n'avions pas encore retrouvés implorants pour eux une miséricorde pour leur vie jusqu'à ce que le ciel fasse en sorte qu'on les retrouve. Le deuil de notre frère dura dix jours. Cependant, on ressentait peu à peu un silence réel revenir à la normal malgré les cœurs encore tourmentés par tout ce qui s'est passé jusqu'ici. Les gens pouvaient peu à peu reprendre leurs occupations journalières et se faire de nouveau projet avenir. Une bonne partie de ceux qui avaient perdu les leurs devaient plus tard essayer de trouver une solution eux-mêmes en attendant voir une autre aide éventuelle se présenter. Nous étions toujours au nombre de cinq en attendant que quelqu'un s'ajoute à nous. Il en restait d'autre y compris nos parents qui représentaient tout ce qui compte pour nous. On ne cessait sans doute de croire qu'on les reverrait un jour même si le destin ne cessait de nous plonger dans l'épouvante. Frank et Rémy étaient deux ingénieurs en bâtiment. Ils avaient crée leur entreprise après être sorti d'une formation de six années bien avant que les émeutes n'éclatent. Les deux jeunes gens pouvait après cet orage de disette ce soit calmé signer de nouveaux contrats de travail et recruter une main d'œuvre. Quand à Simon, il avait préféré être coursier bancaire comme notre père. Tous nous avions décidé nous remettre à nous différentes taches en attendant des lendemains plus subtiles. Parfois, il arrivait que rentré chez moi, je me presse de guetter par la fenêtre question d'apercevoir l'un de mes parents ou de mes frères disparu venir à ma rencontre. Ou encore, il m'arrivait de toujours jeter un coup d'œil sur mon téléphone espérant les entendre me faire un coup de fil.
J'avais repris mon activité de mécanique auto dans un grand garage que j'avais construis grâce à un prêt bancaire. Malgré que tout ait du mal à reprendre de plus belle au niveau de la clientèle, Je trouvais tout même les capacités de produire quatre vingt dix à cent dollars de recettes journalières. Un chiffre qui me permettait de me faire des projets, de payer la location de mon appartement et de mieux assure ma survie au jour le jour. Nous étions bien organisés et personne d'entre mes frères ne pouvait être dans de véritables soucis. Le temps passait et il était de plus en plus facile pour nous en ayant espoir de retrouver les trois personnes qui restent. Ce qui semblait être le plus décevant, c'est l'attitude des membres du gouvernement qui jusqu'ici laissaient à pleurer car ne pouvant lever le moindre doit pour agir positivement. On attendait qu'ils trouvent des voies et moyens pour redonner aux citoyens une vie d'avant.
A chaque fois, ils donnaient l'air de ne pas s'intéresser aux cries du peuple et cela crée d'avantage du désordre dans les villes et autres. En ce qui était du réseau Facebook qui avait jusque là joué un rôle majeur, les citoyens attendaient d'eux une autre technique pouvant ravir les cœurs. S'il fallait en limiter jusque là, le site web avait déjà fait tant de bonne chose en faveur de la population qu'il serait impossible de les rémunérer. Par ailleurs, les rumeurs couraient que pour espérer les revoir à nouveaux sous cet angle, il faudra que le gouvernement donne son accord car le réseau Facebook ne pouvait entreprendre quoi que ce soit sans le consentement de cette institution. Nous n'avions donc pas le choix sinon d'attendre la décision finale pour peut-être un nouveau départ. Pour l'instant, nous ne voulions plus penser à cela de peur d'être dessus. On voulait pour la suite compter sur nos propres capacités à résoudre ce problème.
Pleurer ou encore se plaindre n'était plus la solution. Il fallait désormais rester fort et lucide, pour émettre des idées constructrices. J'avais déjà plus de trente cinq ans homme célibataire, sans enfant mais pleurant toujours ses parents. Pour moi le moment il n'était pas encore question d'avoir une épouse vu tout ce que j'avais vécu jusque là. Ma priorité avant tout était de retrouver mon père et ma mère sans oublier richard né tout juste après moi. Pareil pour mes frères qui eux aussi n'avaient pas jusqu'ici le véritable bonheur celui de faire une vie avec une femme. La situation du chaumage de mon père après sa retraite avait semé un désordre au point d'engendrer des émeutes partout à travers plusieurs villes des états – unis et on en était profondément attristé. Dieu seul sait ce que devait devenir notre futur pour le reste de notre existence.
Quelques mois plutôt, on entama la tragique affaire de la mort de jules qui causa beaucoup de troubles au sein de l'intimité de notre famille. Le commissaire après décharge d'une plaine de notre part contre les présumés agresseurs, nous avait demandé de fournir un indice synonyme de piste qui devrait peut-être faire d'une pierre deux. On salua ce geste qui semblait très promettant et avions également espérez que tout aille jusqu'au bout. Deux mois passé et l'affaire continuait de suivre son cours après que les autorités compétentes aient lancé des avis de recherches à l'encontre de celui à qui appartenait la carte d'identité retrouvé quelques jours plus tôt. Une alerte qui se faisait dans la presse, les télévisions et sur internet. Cette annonce gagnait en popularité auprès du public ; les gens découvraient le visage méconnu et il ne restait plus qu'a mettre la main sur le présumé tueur.


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L'auteur : Emmanuel Ngon à ngon
38 ans, Yaounde (Cameroun).
Publié le 27 juillet 2017
Modifié le 24 juillet 2017
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