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Ce que les jeunes congolais veulent

Où va le Congo de Lumumba ? Quel avenir pour la République Démocratique du Congo ?


De 1997 à 2003 j'ai vu des églises naitres à Kinshasa, j'ai vu des milliers des congolais passer nuit dans les églises, ils disaient prier pour la nation, ils disaient attendre une main divine. Je disais à ma mère de dire aux congolais de prier débout et à yeux ouverts. J'ai retenu de toute ma vie les paroles d'un homme fort qui disait qu'après lui le Congo sera un déluge; celui-là n'avait pas du tout tord car aujourdhui c'est plus pire qu'un déluge.

La vie du congolais est à rechercher au quatorzième siècle. Ceci vous parait surprenant, quand vous vous rendez compte à quelle vitesse le vingt-et-unième siècle s'efface déjà. Aujourd'hui 2013, la situation du congolais n'a pas changée et reste très déplorable et sa vie misérable. Avec ses promesses politiques minées de démagogies, qui ont tous finis aux échecs des années en arrières. Quand vous observais le Congo d'aujourd'hui, vous avez du mal à retrouver en elle, le redoutable Zaïre et l'homme de Mobutu. Le pays a plongé dans une extrême pauvreté, et a vrai dire, le plus critiques jamais connu dans l'humanité. Même la situation de l'Ethiopie des années soixante-dix est à juger favorable par rapport à quoi le grand Zaïre s'est réduit. Le cœur de l'Afrique a était le théâtre des affrontements meurtrier durant les vingt dernières années. Sa croissance a stoppée et ses industries démantelés. La puissante Gécamines, La Miba ont tous fermée leurs portes. Et même si des efforts mesquins ont était enregistré ces dernières années sur une probables relances, les vieilles ténors de la production mondiale semble être essouffler.

Le peuple qui hier chantait  :  " En avant fier et pleine de dignité " est aujourd'hui assise et roulé de honte. Le zaïrois fort a disparu. Mais, cette affaire ne reste pas sans répercussion car, partout où qu'il soit, le congolais est recouvert de honte, et quand bien même, il est effrayé d'aborder la question du Congo en public car, elle parait catastrophique et vraiment décevante.

Dans ce monde où la devise est devenue  : plus vite et plus loin, dans un monde où les choses changes si vite, une page de l'histoire tourne et une autre la remplace. Nous l'avions dit ci-haut que le Congolais, sa vie est à rechercher au quatorzième siècle. Vous me poserais sans doute la question, comment est-il possible ? Le Congolais peine encore à porter sa croix. Un monde nouveau s'installe, la situation du Congolais n'est pas encore rétablie, et le Congo reste coucher au sol.

Quelqu'un a-t-il déjà pensé à cinq-cents ans après notre existence ? Que sera le monde ? Que deviendront les hommes  ? Tout homme est un ancêtre en devenir dit-on, c'est un sujet qui inquiet beaucoup, quand on pense aux changements climatiques, la pollution, et surtout la pauvreté que traverse certaines nations comme le Congo. Que sera la vie de nos enfants congolais cinq-cents ans après ? Si tel est la situation actuelle qu'on juge de désolante et désastreuse  ? Ces enfants seront à la rue par exemple, ils souffriront de la malnutrition et ce pays sera à charge de l'humanité. Car, ce vingt-et-unième siècle est l'unique moment où toutes les nations responsables pensent poser les jalons afin d'assurer des vies à venir, partout ailleurs les humains traces des beaux plans à l'équerre, ça c'est l'humanité responsable et consciente. C'est rien d'autre mais le souci du devenir, le gout de l'existence.

Ces questions troubles le jeune Congolais. Aujourd'hui pour lui, c'est plus qu'un tabou de parler de son pays à l'étranger. Le pays est banaliser, marginaliser et chosifier. Le Congo est un rêve en plein paradis, des énormes ressources naturelles exploiter à des fins criminelles et le Congolais lui-même n'a pas main mise sur ses propres biens. Le Congolais meurt assoiffé, pendant qu'il a les pieds dans l'eau. Sept sur dix Congolais parlent d'un avenir voler, d'un destin détourné, mais les vraies causes sont à chercher ailleurs peut-être.

Nous les avions vu partout, ils ont couvèrent des avenus à l'étranger. Chansons révolutionnaires, furies, très en colère et prêt à toucher aux armes, ils ont dit Kabila dégage. Conscience oblige, le Congolais s'est aussitôt rendu compte que sa situation était une situation de misère et qu'il n "tais plus questions de l'admettre comme telle, il faut un changement. En France, en Belgique, au royaume unis, au canada, en Afrique du sud, en Inde et partout ailleurs des bases de la révolution congolaise se sont allumées. En Belgique par exemple, des protestations graves ont eu lieu. Des voitures ont étais incendier et des biens de valeurs, quelques pillages occasionnel. Pourquoi avoir choisi le Royaume de Belgique ? Simplement parce que, la Belgique est l'ancienne puissance coloniale, et reste main mise sur la politique Congolaise. Mais pour les belges, les pratiques n'ont pas changé. Il s'agit plutôt d'écouter les intérêts de la Belgique plutôt qu'un peuple qui revendique son avenir confisqué.

Chose étrange, les Congolais pensait rejoindre sa cause à la cause Tunisienne, à la Cause Egyptienne ou autre. Mais malheureusement pour lui, il n'a pas jouit des mêmes valeurs, pas d'attention particulière sur la chose. Comme par exemple, ils n'ont pas jouit d'une couverture des medias internationaux comme tant d'autres, et à fortiori, sa voix a était stopper, et négliger. Pourquoi un tel abandon ? Nous ignorons le jugement que certains pays et ne particulier les puissances occidentales portent sur le Congo et le Congolais, mais quelque chose cloche, ne s'agit-il pas là de l'histoire d'un peuple sacrifier  ? Les cris des Congolais partout ailleurs n'ont donc pas était entendu et cela est regrettable. Qu'ont-ils fait pour hériter ce sort ? Il reste victime des tortures de l'Humanité. Les richesses du Congolais sont piller et lui, priver de tout.
Analysant ainsi la situation à l'étranger, vous comprendrais que cela doit être un désastre à l'intérieur du pays. Là aussi les réalités ont étaient terrible, et on parle d'un vrai bandeau dans la bouche du Congolais. La révolution a étais stopper sur le champ, chasser à cout de gaz et d'arme à feu, ils sont retournés dans leurs maisons. La répression a était sanglante et des milliers des vies humaines ont étaient balayés. Kinshasa, le cœur de la révolution s'est transformé en un vrai champ de bataille entre le peuple et les forces gouvernementales. Puis par après, Kinshasa en un vrai cimetière. Au Congo on ne s'inquiet pas pour la vie. Quand il s'agit de tirer on tire sauvagement.

Qu'est-ce-que la révolution as-t-elle apportée ? La révolution n'a apporté aucun changement. Les autorités congolaises, ayant réussi le bras de fer entre le peuple et eux, continuent à vivre leurs vies, ils n'ont pas besoins d'interroger le passé pour se saisir des leçons. Le peuple à payer son sang, des violations graves de droits de l'homme et d'atteinte à la vie humaine ont étaient commises et abandonner à eux-mêmes. Pas de jugement, pas d'interrogatoire sur les massacres sauvages des populations par les forces Républicaine. Ils n'ont pas jouit d'une couverture médiatique voulue afin de faire voir au monde la réalité sur terrain, tout ce que la révolution timide à donner ce sont les pertes des vies humaines, des gens qui ont donné leurs vies croyant qu'un signal fort suivrais par après. Paix à leurs âmes ! Et comme prix aussi, un Etienne Tshisekedi, leader de l'opposition mise à résidence surveillé, comme Socrate, accusé de troubler l'ordre public, de blasphémer sur le seigneur Kabila. Des adeptes de l'opposition peines en prison, c'est ça la situation d'après révolution.

La révolution on en parle plus car elle s'est solder à Zéro. Nos cris, nos chansons révolutionnaires, notre furie, notre gout pour le changement, notre appétit pour la justice ballonnés par la volonté de certaines nations d'exploiter à bon escient le Congo et le refus d'écouter le Congolais. Le Congolais est semblable à un cheval portant un mord il ne peut hausser sa voix et le Congo comparable à un éléphant au sol, maintenu par des barres de fer afin de s'endormir éternellement.

Parler du Congo est devenu plus qu'un tabou nous l'avions dit, quand on considère les violations graves de droit de l'homme, la pauvreté extrême et les antivaleurs qui entoure le pays. Pas des routes, des ravins partout, la malnutrition a atteint plus de septante pourcent de la population active. Les enfants sont forcés d'intégrer l'armé et les groupes rebelles, les petites filles violées, ils sont contraint de servir d'esclave dans les mines de Coltans. L'éducation n'existe plus, on assiste là à un accroissement systématique d'enfants à la recherche de la survie dans la rue. L'Esperance de vie s'est vu réduite à quarante-sept ans du à la malnutrition, sept sur dix enfants ont la malchance de décédé avant la naissance. La situation du Congo est une situation humanitaire.

Les populations âgées de moins de cinq sont les premières victimes de la malnutrition, et des maladies liées à la faim comme le Cholera, la typhoïde, la rougeole, le retard de croissance et autres. Les conditions de vie étant inhumaines. Le Congo en dépit de ses ressources naturelle, n'exporte aucun produit à l'étranger, et moins encore ne produit quelque chose, ce qui devient un contraste. On importe tout, même une aiguille est importé, les produits vivriers viennent tous de étranger, le Congolais vit dans une économie complètement importatrice. Le secteur public est complètement à terre, et l'industrie n'existe plus. Maintenant deviner quand la crise nettoie l'Europe et l'Amérique, ce que peut être la vie d'un peuple aussi dépendant de ces deux donateurs mondiale ? Don béni, comme ils savent le chanter dans l'hymne nationale, mais aussi un cadeau empoisonné peut-être. Les biens de premières nécessités sont produits sans respect d'aucune règle de sante, voilà pourquoi son espérance de vie est limitée à 47 ans.

Vous êtes donc surpris de voir que Kinshasa est la capitale la plus sale au monde ! Souvenez-vous bien qu'elle était autrefois Kinshasa la belle. C'est parce qu'au Congo on souffre de l'abandon de la citoyenneté, et cela à tous les niveaux. Au Congo, lorsqu'un caniveau est bouché, on attend que les heureux donateurs européens et américains viennent faire le nettoyage. La politique du pays n'arrive pas à relever des décisions d'elle-même et cela est très décevant. La pauvreté est avant tout un Etat d'esprit et rien d'autre.
Le pouvoir d'achat du peuple est déplorable, sa vie est réduite à moins de cent franc congolais le jour qui n'est rien autre que 0.0848994 euro. Avec un cout de vie surélevé. En lieu et place d'aider le Congolais à mettre en valeur ses ressources naturelles, ont lui a privé d'un capital alors que la main d'œuvre est disponible. On a substitué son avenir par des organisations non gouvernementales qui lui distribue des petits pains.

Nombreux auteurs parle d'un rêve en parlant du Congo. Car le Congo malgré ses enviables richesses a était classer 187e en terme d'indice de développement humain en 2011 par les nations Unis, soit la nation la plus pauvre au monde, en dépit de ses gigantesques ressources naturelles. Le Congo a aussi terminé 185è pays au monde en termes d'affaire. Vous comprenez donc à quelle place se situe le pays. Mais disons aussi que cela n'est rien autre que la volonté malsaines des certaines nations, à ne pas vouloir voir cette nation se développée. C'est un secret de polichinelle, car le rapport de nations Unis en rapport avec les conflits armées à répétitions à l'Est de la République Démocratique du Congo cite ouvertement le Ruanda, l'Ouganda et le Burundi à vouloir fragiliser l'est du pays afin de faciliter les pillages des masses de ses ressources naturelles. Nous le savons tous bien que derrières les petites nations se cache des grandes nations, mais qui sont-elles ? Voilà le néocolonialisme auquel souffre la République Démocratique du Congo en plein 21è siècle.
Le Congolais a vu sa renommée se dégrader au cours des dix dernières années et son pays s'enterrer, ils sont devenu objet sans valeurs, et ne jouisse d'aucune considération, spécialement en Europe, le pays est parti très en deca du seuil de la pauvreté. Ils ont franchis la base de la pyramide de la misère, parler là d'un pays vivant serait trop dire. Mais, est-ce-que le Congo renaitra ? Donner une réponse à cette question c'est avant tout vouloir écouter ce que les jeunes Congolais veulent.


Qu'est-ce que les jeunes Congolais veulent  ?

Vous pensez peut-être que les jeunes congolais ne réfléchissent pas comme bon nombre d'entre vous l'affirme. Il est préférable de prendre le diable par la queue. Ces jeunes congolais sont tout aussi intelligents et créatifs comme vous, mais à la différence, votre voix contrairement à la leur est entendue, et voir même suivie. Ils ne sont pas diffèrent ce peuple, ils ont les mêmes goûts et désires que tous les jeunes du monde. Mon travail peut ressembler à une charte pour les intérêts des jeunes congolais, qui eux, sont réduit au silence, et ne peuvent pas dire tout haut, tout ce que vous et moi disons tout haut.

D'abord, le congolais veut un réel Independence, il veut avoir le monopole de décider sur l'avenir de son pays et cessez de subir des pressions venant de l'extérieur. Le Congolais veut seul élire ses dirigeants, il veut des élections libre, démocratique et indépendante sans main occidentale, Il veut que son droit à la vie soit rétablie, il veut avoir la liberté de hausser le ton quand ça ne vas pas. Le Congolais en a marre des dictons occidentaux et des énormes impositions qui lui empêches de développer son pays. Il veut des vrais nationalistes au pouvoir et non des politiciens garçons de courses.

Les Congolais veulent d'un pays mais surtout d'une nation et une vraie nation. Une nation prospère et reposante sur des valeurs. Ils veulent être fier de leur nation, ils veulent porter les couleurs du Congo partout comme les Jamaïcains. Les Congolais veulent un Etat moderne, aux infrastructures modernes et la technologie. Deux sur dix congolais seulement connaissent l'informatique, deux sur dix seulement savent manipuler un ordinateur en ce vingt-et-unième siècle. Certains même n'ont jamais vu un ordinateur depuis leur naissance et l'internet on n'en parle pas. Un sur dix foyer possède l'internet et à un débit très faible vu le manque d'un réseau à fibre optique. Deux sur dix officiels de la République utilisent un ordinateur. La situation est tout autre quand on observe ses voisins le Rwanda, L'Angola et le Congo en face.

Au Congo, posséder un ordinateur est encore un bien de luxe, pareil Etat d'esprit doit-il encore exister ? Un retard technologique considérable. Si neuf sur dix Congolais admette leurs situations de lisère comme normale, c'est simplement parce qu'ils n'ont pas accès aux technologies nouvelles de l'information, ils ne savent pas apprécier les génies extérieurs, ils ne savent pas voir comment les uns font pour se racheter la liberté. Cela vous étonnerais, mais il est plus facilement au Congo, de retrouver une élite, au parlement, au gouvernement ne pas connaitre l'ordinateur et moins encore l'informatique. Il préfet user des méthodes rudimentaires, comme par exemple il efrit ses discours à la main, il rédige les papiers officielles à la main. Ce phénomène peut être nommé d'analphabétisme informatique.

Le Congolais a besoin d'un bâtisseur, d'un homme qui construise sa nation et la dote des édifices modernes. Le Congolais a besoin d'une entreprise de Construction automobile afin de décanter sa situation honteuse de transport public. Des routes modernes, des highways qui connectent toutes les provinces de la République afin d'assurer le commerce intérieur.

Au Congo, les moyens de transports sont insuffisants et vraiment archaïques. Pour un bus de transport marque Mercedes 207, que les kinois eux-mêmes ont surnommés Esprit de mort, vous avez plus de quinze passagers. Les passages sont confiner comme des sardines, des maladies sont partager. Et pour s'attraper un transport pareil il faut courir, il vous faut être le plus violent pour s'arracher une place. Le Congolais veut la construction des lignes métro, il a besoin des trains à grandes vitesses et des avions Boeing. Le Congolais a besoin d'un aéroport moderne, et digne de son nom. Un peuple beau, grand et riche d'histoire.
Les jeunes Congolais veulent voir l'aéroport de Nd'jili réaménager au standard international et réallouer aux voles nationales. Ils sont fatiguer de voir des hommes en arme déambuler dans un aéroport, un aéroport n'est pas un champ de batail.

Les aéroports qui sont aujourd'hui devenu des parcs d'attraction, des lieux touristiques au monde, qui fait bénéficier des millions des dollars aux nations. Aujourd'hui au monde, un aéroport peut rapporter quatre fois plus qu'un site touristique à l'économie nationale. Un aéroport n'est pas un simple lieu d'accueil et de départs, des économies y sont concentrer et là prend place bon nombre des deals d'affaires. Prenons l'exemple de l'aéroport international d'Addis Ababa en Ethiopie, l'aéroport de Newark aux USA.
La position de Nd'jili est très décevant, cet aéroport reste encore rudimentaire et aux pratique très anciennes. Vous serais choquer de voir des individus pousser de derrière un avion afin de lui donner un élan au décollage, des pratiques pourtant interdites. Avec ses aérodromes de quelques mètres carrées, datés des années cinquante-huit, cet aéroport ne peut qu'accueillir des petits porteurs et des avions des dimensions moyennes. Toute la déception du pays commence par-là, alors qu'un aéroport est supposé incarner la face du pays. Vous avez là des crieurs dans un aéroport qui vous cris pour signaler l'arrivée d'un avion. Pas de tableau d'information dans un aéroport. Vous lisez déjà départ la face de cet aéroport les conditions des vies des gens qui y vivent.

Le Congolais veut être doté des aéroports modernes qui les honorent, car Nd'jili est là une vraie poubelle. C'est désolant que cela ne gêne pas les autorités congolaises qui eux sont sensé voyager à travers le monde, ils ne tirent aucune leçon de tout ça ! Si le ridicule pouvait tuer. Le niveau de pauvreté est déplorable, le pays est dominer par uns sous emploie historique au-delà de dent pourcent de la population. Le peuple est dans la rue, ils finissent par devenir des enfants de la rue communément appelé en terme locale Cheguer. Le chômage touche plus de septante pourcent de la population active. Un diplômé d'université peut être n'a aucune chance de réussite. Au Congo il n'y a pas d'air pour toutes les poitrines et pas d'emplois pour toutes les intelligences. Le pays est paralysé dans tous ses secteurs vitaux, la population étouffé. Les jeunes Congolais rêve d'un Etat de plein-emploi, ils veulent d'un Etat où toutes les intelligences seront misent en valeur. Les Congolais veulent d'un pays où règne la juste répartition des ressources nationales. Un Etat où le licencier est un offreur du travail et non un demandeur du travail.

Les massacres successif des populations civiles dans la partie est de la République Démocratique du Congo, n'ont jamais étaient puni, quand bien même les responsables de ces actes de terreurs sur les enfants et les femmes en particuliers continuent à circuler librement sans être interpeler par la Justice. Les jeunes Congolais rêvent d'une nation où règnent la justice et les droits. Ils veulent que les auteurs de ces crimes soient traduits devant la justice Internationale. Ils veulent d'un pays où tous, politiciens, militaires comme civiles soient justiciables à l'exemple de la France. Les Congolais veulent qu'un président de la République réponde en Justice lorsqu'il est accusé de complicité et de trahison, ils ne veulent pas d'une nation où le président se prend pour un roi. D'un pays où règne le culte du dirigeant, où il exerce ù lui seul le pouvoir législative, exécutif et judiciaire. Ils rêvent d'une nation, pas simplement d'un pays.

Les jeunes Congolais veulent du travail, Ils veulent voir leur pouvoir d'achat améliorer et leurs parents arrêter de pleurer. ILS veulent participer à la reconstruction du pays et non être exclus. Ils veulent être consultés dans la prise de décision car d'après tout le destin du Congo c'est eux. Cette phrase malheureusement en RDC ne s'arrête que dans les écrits.

Les jeunes congolais rêvent d'un Etat d'Egalite sociale, d'une nation où règne la méritocratie. Ils rêvent d'un Etat où le loup et l'agneau boiraient ensemble, en toute quiétude, l'eau du même ruisseau. Ils veulent d'un pays où règnent la tolérance et le respect de la dignité humaine, ils ne veulent plus vivre dans un abattoir humain. Ils veulent vivre dans un univers ou les droits des femmes sont respectés.

Les Congolais ne sont pas fier d'un Etat où le corps de la femme est objet sans valeur, ou le a femme est devenu une machine sexuelle. La situation Des femmes en république démocratique du Congo est la plus critique au monde. Le pays n'est pas un environnement sûr pour les femmes. Quatre sur cinq femmes courent un risque de viol par jour. La femme est diminuée et traiter d'esclave sexuel, elle est vilipender dans des régions comme, l'est de la république démocratique du Congo, au moins quarante-huit femmes sont violer par heures par des miliciens qui font le plein au pays.

La situation de la femme en République Démocratique du Congo est partie en début 2011 pour une situation humanitaire et urgente, quand un bébé de trois mois est violé en République Démocratique du Congo et qu'ensuite l'innocent bébé a fini ses jours dans un cercueil. La situation des femmes se détériore des jours en jours, le pays n'est pas une place sécurisant pour femme. Cette situation expose le pays à une honte éternelle, et le pays n'aura pas de respect tant que la situation de la femme ne sera pas régulariser.
En République Démocratique du Congo, la femme est pris pour une machine et un objet sexuel, dès qu'elle refuse de céder aux pressions des hommes, elles sont battue à coup de poing et voir même de marteau jusqu'à perdre la vie. Les nombreux cas enregistré ces dernières années au nord et sud Kivu, une province en République Démocratique du Congo sont désolantes. Les dénies commis sur la femme congolaise avait interpellé la communauté internationale qui promis des sanctions aux seigneurs de guerre, mais le blocus intervient quand les soldats de l'armée régulières sont eux-mêmes aussi inculpes dans les viols collectifs qui se déroulais dans la province.

Les abus sur la dignité des femmes en RDC sont excessifs. Certaines femmes ont le vagin déchiré, les autres ont les seins amputés. Les rebelles ont fait appel à des pratiques inhumaines a l'égard des femmes congolaises, les introduisant des bâillonnâtes. Les femmes en République Démocratique du Congo sont violées avec la plus grande méchante de ne laisser ni vie, ni chance de refaire une vie à la victime. Les femmes vivent dans la peur du viol. Suite à ce phénomène, le pays fait face à une montée des naissances non désirables. La population en RDC accroit plus vite que le progrès, ils sont alors laisser dans un état de pauvreté extrêmes. En République Démocratique du Congo, les droits de la femme sont oubliés.

La plupart des enfants issue du viol, souvent sans père, finissent leurs jours dans la rue aux conquêtes des petits pains pour nourrir leurs mères et leurs familles. On les surnomme des enfants serpent. La conquête d'une survie ils ne le font pas que sur la rue, mais aussi dans les poches des particuliers. En pillant des maisons, des magasins, et voir même en arrachant par force aux passant leurs biens en cours des routes. Suite à ce phénomène, le pays, et surtout la capitale Kinshasa souffre d'une montée du banditisme et de la criminalité. Les particuliers sont dépouiller de leurs biens et parfois même tuer si ils résistent. Les propriétés des étrangers comme les banques sont braques à main armée et les caisses dépouilles. Ce qui fait du pays, un espace quasiment invivable et dangereux même pour les affaires.

Ces criminels à Kinshasa sont connus sous le nom des  " Kulunas ", et sont les acteurs le plus populaires au pays. Le gouvernement Congolais n'arrive pas à maitriser ces enfants. Ce mouvement opère des pillages de masses en plein jour, au seuil et vu de tout le monde. Un phénomène qui met le pas le pays à nu. La solution à ce problème passe essentiellement par une compensation, le gouvernement Congolais devrait en principe multiplier les emplois pour attirer ces enfants vers un nouveau monde. Le monde de la main d'œuvre peut-être, Mais le gouvernement échoue complètement dans la création des emplois. La jeunesse active est au chômage.

Au Congo, plus de quatre-vingt pourcent des jeunes en âge de travail sont au chômage et plus de quatre-vingt pourcent des hommes âges apte à la retraite sont au travail. Ce qui expose le pays a un déséquilibre social sérieux. Cet inégalité et injustice, favorise l'accroissement des abus dans le pays. Le jeune se retrouve totalement exclus des affaires courantes du pays, et le pouvoir se trouve confisqué entre les mains de la classe vieille qui par contre ne représente que vingt pourcent de la population congolaise. La politique du pays et son économie est ainsi égorgée par refus systématique de mettre au service les jeunes cerveaux.
En République Démocratique du Congo, les jeunes sont diminuer et voir même affaiblis. Il vous paraitra alors curieux de retrouver parmi ces enfants Kulunas qui sème la terreur dans la capitale Kinshasa, des intellectuels et des universitaires qui par manque de travail ont choisi ce métier injustice pour s'attirer de l'argent facile et faire payer les pots casser au gouvernement. Puisque ces jeunes ne trouvent pas leur place dans leur propre terre de naissance, voilà pourquoi ils ont choisi l'immigration en terre étrangère comme suppôt. Les jeunes sont prêts à tout pour gagner un visa pour l'étranger, pour l'Amérique ou l'Europe. Voilà que vous êtes surpris d'accueillir des centaines d'expatrier congolais chaque année sur votre terre, et qui jure de ne plus jamais se rendre en RDC. Par contrainte, ils inventent toutes les raisons possibles, pour se faire passer même pour des exilés politiques, avec ce phénomène congolais bien connu dit le phénomène Ngunda, qui veut traduire " Départ sans retour ". Cette antivaleur n'arrive que pour la seule et simple raison, qu'ils ne sont pas mis en valeur au pays.

La République Démocratique du Congo n'exporte aucun bien à l'étranger, en dépit de ses énormes richesses naturelles. Le pays reste à genou, et sa population souffre des maladies liées à la faim. Le choléra, la diarrhée rouge, la typhoïde, et la fièvre Ebola font souffrir la population jusqu'à leur condamne a une sante très médiocre et critiques. L'Esperance de vies s'est rabaisser jusqu'à 45%. Parfois la population a accès à des produits avariée et des médicaments périmés que les offices de contrôle ont du mal à détecter dû au manque de technologie et des matériels adéquats. Dix pourcent seulement de la population à accès aux soins de bonnes qualités, et plus de quatre-vingt-dix pourcent du pays a accès a la médecine traditionnelle du pays qui reste marquée par un manque d'expérience et des erreurs des calculs qui expose les patient a des risques de surdosages.

J'ai fait une lecture complète de la population congolaise et de ses demandes, et cet article n'est qu'une partie de mon livre à venir très prochainement  : L'Autopsie d'un peuple. Je suis rassurer que ces vérités vous ont permis de palper du doigt la réalité congolaise et ont changé votre jugement sur la question congolaise.
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L'auteur : Richie Lontulungu
34 ans, Kinshasa (Congo).
Publié le 19 janvier 2013
Modifié le 13 janvier 2013
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