| Tradition ou modernisme ?L'histoire d'une jeune femme au prise entre des tradtions ancestrales et un modernisme paradoxal, histoire d'un amour contrarié, cliché d'une vie, voilà mon histoire en espérant qu'elle vous inspire...Assise éclairée par la lueur d'une lumière scintillante, dans cette immense chambre vide et austère, dans cet hôtel qu'elle redouté tant au départ, mais qu'elle a fini par apprivoiser et même aimer, ça lui paraissait étrange d'ailleurs un petit goût de nostalgie se glissa alors dans ce bouillon de sentiments confus qu'elle ressentait a la veille de son départ.
Son séjour fut enrichissant dans cette contrée désolée ou les montagnes s'étendent à perte de vue sans arbre à peine quelques broussailles eparpiées ici et la à l'orée du grand désert saharien, qu'il était beau se séjour ou elle a put se rapprocher de lui, le sentir tous les jours dormant dans la pièce à côté vibrant au son de sa voix et de son rire.
Mais ce soir seule dans cette chambre vide elle attend qu'il vienne lui rendre une ultime visite, revoir son visage qui s'illumine, son sourire si joyeux et l'écouté parler, sa voix alors l'emporterait dans un autre monde, un monde ou elle n'avait plus de soucis, plus de peine seule comptait ces quelques minutes ou il était là prés d'elle.
Mais elle savait qu'il ne viendrait pas arrêter par une pudeur exagéré ou bien par la moquerie des son compagnon de chambre ou alors par des liens invisibles mais néanmoins coriace qui le rattachait au cœur d'une autre... Rien qu'a cette idée elle se rembrunie et des larmes commencèrent à couler sur son visage doux et serein en générale.
Elle était triste de se retrouver encore une fois seule, seule dans cette chambre, dans cette vie...
Elle avait l'impression d'avoir passé toute son existence dans cet état là, seule dans une chambre dans un désert en attente d'un évènement mystère qui ne venait pas.
Elle ne pouvait s'empêcher de vivre pour cet attente de penser, a lui de le chercher du regard, de guetter le moindre sourire qu'il lui destinait, de l'aimer, tout en sachant qu'elle ne devrait pas, car que bien que pratiquant le même métier dans la même entreprise ils n'étaient réunie que pour une courte durée après quoi chacun repartirais chez lui dans sa petite vie loin l'un de l'autre.
Elle sais qu'elle aura sur le cœur ce regret, ce qui aurait pu se passer si elle avait était plus audacieuse, mais guidé par un instinct ancestral elle ne pouvait abandonner cette pudeur que les femme de son pays prennent soin de transmettre a leur progéniture femelle comme pour leur montrer leur place, ne pas se montrer de mœurs légères est et restera toujours le soucie des ces femmes qui bien que se disant moderne continuent a perpétrer les traditions de leurs grands mère.
Après la fin de leur formation ils se quittèrent sans que rien n'eu pu se passer entre eux, elle n'as jamais put oublier l'inclinaison qu'elle avait eu pour lui, un beau jours il a disparu et elle ne sais ce qu'il est devenu sans doute s'est il marier a une fille de sa ville et a ce moment même il doit mener une vie pépère bien rangé, quant a elle, elle épousa quelques années plus tard un de ces ex elle n'avait jamais eu pour lui les même sentiments qu'elle éprouvait pour son grand amour car c'est ainsi qu'elle le nommait quand elle parlait de lui.
Elle finit par s'habituer a sa tendresse et sa prévenance et enfin de compte elle n'était pas malheureuse sa vie était paisible elle aimait sa famille ses enfants elle finit aussi par devenir comme toutes les femmes de son pays par suivre leurs traditions et enseigna a sa fille comme le fit sa mère avec elle cette pudeur qui l'avait tant embêté dans sa jeunesse en lui disant : "ma fille dans certain cas cette pudeur te sembleras désuète et dépassé mais sache qu'elle te protègeras de bien de peine".
Faut il toujours suivre les traditions ancestrales ? Qu'aurait était la vie de cette jeune fille si elle n'avait eu a ce soumettre a cette loi filiale ? La question reste posée... | | |
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