| Théatre de mon malRien à dire, juste à lire. Je ne suis pas ce que je crois, s'il te plait, dis le moi.Mon oreillé est humide et froid, ma vue est trouble. J'ai mal au crâne. Je ne sais pas écrire, je l'ai toujours su, ce ne sont que des lettres sans valeurs mises bout à bout; place aux mots, aux larmes. Mon oreillé est trempé, glacé. Je ne vois plus rien.
Je veux tout savoir, ce que tu detestes en moi, ce que tu aimes, ce que tu voudrais changer, ce que tu voudrais garder pour toi toute seule. Je veux savoir si celà vallait la peine que je vive ces moments à tes cotés, je veux savoir si tout ça est réel, je veux savoir si mes rêves ne sont que ce qu'il sont. Je veux savoir si je compte pour toi au point de me laisser comme ça, sans rien, sans même me dire au revoir ou adieu.
Peut-être es-tu trop rêveuse pour ma réalité, ou alors c'est moi qui suis trop réel pour tous tes rêves.
Le pipi de 7h55 a tout gaché
Il m'en a fallu du temsp pour comprendre. Si je n'ai pas voulu te dire mon nom, c'est parce que je ne voulais pas savoir le tiens, c'est mieu comme ça. C'est mieu d'être anonyme, c'est mieu de ne connaître que le gout de ta peau, de ne connaître que la profondeur de ton regard, la douceur de tes cheveux. Ton si joli visage, e m'en souviens si bien, et tes yeux couleur noisette, ta taille fine, et tes petits tétons entre mes dents. Oui, gémis, moi aussi. Tout celà n'aura duré que trop peu de temps cependant. Je me suis perdu dans ce labirynthe, toutes ces portes qui s'ouvrent sans cesse. Elles étaient bleues, je m'en souviens maintenant. Les bouts de verre sur les escaliers, sur chaque marche; je ne me suis même pas coupé. Je t'ai quitté en montant les éscaliers, tu n'as même pas posé de questions, ce n'etait même plus toi, déjà une autre, mais sans importance, je te quittais. Je suis partis à la nage direction l'Angleterre, j'ai fais 400 mettres, avant de me rendre compte que finalement, à la nage, l'Angleterre ça fait loin. Je ne t'ai plus jamais revue, peut-être dans mes rêves, qui sait ? Pas moi.
Ce matin, je me suis réveillé, je n'avais pas dormis, mais j'ai rêvé. J'ai rêver de ma vie puisque jusqu'a preuve du contraire, rien ne peut me prouver que tout ce merdier est réel, rien ne peut me prouver que tu as déjà tout oublier, rien ne peut prouver à personne ce que personne ne peut prouver. Toi, peut-être, tu es là avec moi, même si tu ne le sais pas. Mais je ne t'aime pas, je ne te deteste pas, juste, tu es là, et c'est comme ça, je n'ai pas le choix, et si je l'avais, je ne changerais pas, et j'aime les virgules et les rîmes en "a", mais il faudra bien que j'arrête.
Tu t'es amusée ? Tant mieux, pas moi, non, pas sans toi. | | |
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