| Nous ne sommes pas seuls...Grande première sur les chatons, des chercheurs ont proposé d'étudier la résistance de ces petites bêtes face au virus du Sida. Leur technique est pour le moins surprenante...On s'est toujours soucié de savoir si nous, les terriens, étions les seuls dans notre galaxie. Par peur de l'inconnu, il a toujours été conclu qu'aucune forme de vie autre que terrestre n'était présente dans l'univers.
Ce temps est révolu !! Des chats vert fluorescents ont envahi le Minnesota, Etats-Unis...
Bon, inutile de paniquer. Tout ceci était tout à fait calculé.
Récemment, des chercheurs de la Mayo Clinic ont entrepris de modifier génétiquement trois chatons afin de préciser leurs recherches sur le virus du Sida, appelé FIV chez les félins.
Le virus
Baptisé VIH (Virus d'Immunodéficience Humain) pour les Hommes, le virus du Sida existe également pour les animaux, et plus particulièrement chez les félins. Pour ces derniers, il est qualifié de Virus de l'Immunodéficience Féline (FIV). Il a été découvert en 1986 et a pour effet de rendre le chat vulnérable aux infections.
Heureusement pour nous, ce virus n'est pas transmissible aux humains.
Malheureusement pour eux, il n'existe pas de traitement efficace pour éradiquer le FIV.
La modification
Grande première sur les félins, cette opération avait pour but d'étudier les effets du Sida sur les chats au cours de leur vie.
Au départ, les chercheurs ont mis en place une modification génétique sur 22 mères, modification qui leur permettrait de résister au virus. La transmission aux chatons ayant fonctionné, 30 petits ont été fécondés.
A noter que seulement 3 ont survécu... Ils ont manifesté la modification sous forme de gène fluorescent.
Ainsi, la transmission génétique permettra de prouver si les chatons bénéficient ou pas de la résistance de leur mère, et si oui pendant combien de temps.
Pour l'instant, les chercheurs demeurent optimistes et gardent les yeux fixés sur leurs "cobayes".
Similitude en orient
Le changement de couleur sur des chats a déjà été proposé, pour des raisons médicales également.
En Corée du Sud, des chercheurs de l'Université de Gyeonsang ont inséré des protéines fluorescentes dans des organismes félins.
Leur but est de pouvoir guérir les maladies génétiques des chats d'après le constat selon lequel le gène sain se répandrait dans toutes les cellules de l'organisme du chat, à l'image du test de la protéine fluorescente.
[Sources : France Soir, 1jour 1actu] | | |
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