| Mélancolie d'un soir d'hiver...Ce texte n'a rien de spécial, je l'ai juste écris un jour ou je pleurais, inspiration directement venu des larmes.Qu'ai-je fais à la vie pour mériter ça ? Moi-même, je ne le sais pas ! Pourtant je ne suis pas méchante, j'ai juste voulu une grosse part, c'est normal pour quelque chose que j'aime et si j'avais faim.
J'ai rétorqué et me suis pris une gifle, peut-être est-ce normal, je ne le sais pas non plus.
Mes larmes affluaient et pourtant je tachais de les dissimuler, je ne laissais pas sortir mes pleurs, je continuais à manger ma part, chaque seconde, de plus en plus vite.
Mon frère me jeta un bout de gâteau dans les cheveux et mes pleurs qui n'en pouvaient plus de se taire jaillirent de ma bouche, ma vue se brouillait, voilée par les larmes et je mangeais toujours, de plus en plus vite pour pouvoir fuir cette cuisine, cette pièce où cette gifle me fût donnée.
Et maintenant que fais-je ? J'écris ce qui vient de se passer pendant qu'une larme meurt le long de ma joue, que mon nez bouché par un rhume m'empêche de respirer correctement, et que les aiguilles de mon réveil parcourent leur chemin, toujours le même.
Qu'éprouvais-je ? Je ne saurais le dire, peut-être un sentiment d'amertume pour cet homme qui me gifla, peut-être de la colère, peut-être de la solitude, ou tout simplement de la tristesse, que sais-je, tout se mélange en moi.
Je suis outrée, outrée par son indifférence envers moi, il est monté à l'étage, est entré dans la salle de bain, a regardé quelque chose dans sa chambre, a éteint la lumière de la salle de bain, est redescendu pour remonter 2 minutes plus tard, a mit son téléphone portable à charger, et a allumé son ordinateur comme tous les soirs, et moi que fais-je ? J'écris toujours, je ne parle pas, je n'ai peut-être rien à dire et puis, je n'ai pas envie de lui parler alors je me tais avec dans l'espoir qu'il m'adressera peut-être la parole.
Mes devoirs ! Il faut que je les fasse : j'ouvre mon livre à la bonne page, lis les exercices, et par dépit referme le livre, je n'y comprends absolument rien.
Je m'appuie contre le mur, assise sur mon lit et regarde un des poster, celui de mon idole, un mec qui chante, qui danse, et qui est beau comme un dieu.
Ce mec là n'est pas pour moi, trop connu et bien trop inaccessible.
Et voilà, on a changé et d'heure, et de minute, et de seconde et maintenant j'écoute le disque de mon idole, mon petit frère est là à coté de moi, il ne veut pas dormir, moi non plus, mais je suis fatiguée, et puis demain j'ai cours, alors je devrais m'y résoudre. | | |
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Accroche toi et profites des bonnes choses de la vie. | | Re: Mélancolie d'un soir d'hiver... Posté par lili.r le 15/10/2005 13:58:56 | C'est vrai ce texte n'a rien de spécial, mai il n'y a pas de fautes de français, et il est bien écrit, ce qui est plutôt rare...Et puis chacun ses problèmes, il y en a qui pleurent pour des gifles, d'autres non...c'est pas un truc à juger. | | Re: Mélancolie d'un soir d'hiver... Posté par papouilla le 14/10/2005 18:27:59 | tu as pleuré pour une gifle ? ^o) ! Elle venait de qui ? ton pere ? !!! C'est pas la mort ! qui ne s'est jamais pris de gifle en étant jeune !!!! :^) ! C'est pas grave faut se consoler c'était pas pour un bout de gateau ! tu aurais pu t'en acheter un à la boulangerie le lendamain et le manger toute seule héhé ! bah quoi !!!! t'es pas la seule gourmande hein ! | | . Voir tous les commentaires et/ou en poster un (3) |
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