| L'être aiméVous est-il déjà arrivé de vous réveiller la nuit en sursaut, sans savoir pourquoi, sentant des larmes glissaient le long de vos joues ? La perte d'un être cher peut s'averer fatale si elle se revele être la raison d'une vie. Epilogue d'une descente aux enfers : la mienne.Tout commença peut avant les fêtes de fin d'année...
Ce soir là, le collège de sainte Laffont organisait le traditionnel concert de Noël, et pour la énième fois Patrick y assista.
Patrick était en 3ème malgré ses 13 ans, cette adolescent relativement envelopper avait cependant une intelligence hors de la moyenne, se qui ne l'empêcher point d'être apprécier de tous ses camarades.
Ce soir là, tout était on ne peut plus habituelle, c'est-à-dire ennuyeux. Patrick senta les lourdes ailes de la fatigue se posait délicatement sur ses paupières, cependant quelque chose le réveilla, un son aigu provenant du fin fond de la salle, une jeune fille c'était mise à pleurer réveillant par la même occasion une bonne partie du public. Patrick se tourna, et là, fut émerveiller, un jeune élève, certainement en classe de 6ème, attirai son regard, il ne savait pas pourquoi mais il avait besoin de le connaitre. Durant toute la période du concert, Patrick ne cessa de se retourner pour admirer l'ange qui se tenait juste derrière son être.
Le commencement
Le collège de sainte Laffont était un collège privé sous contrat d'association non loin de la ville de Paris, de part son coût élevé et de sa sélection drastique seule une certaine élite pouvait se venter d'y être étudiant.
Patrick à partir de ce jour, ne cessa de penser à ce jeune 6ème dont il ne savait rien, ce qui lui valu le redoublement de sa classe de 3ème et la foudre de ses parents.
Le jour de la cérémonie de fin d'année arriva à une vitesse presque cruelle, les meilleures élèves allaient être récompensés et Patrick n'avait toujours pas fait la connaissance de ce jeune inconnu. Dés la fin de la cérémonie il se hâta à sa recherche et fini par le trouver. Machinalement ils échangèrent quelques paroles, et leurs numéros de téléphone comme s'ils se connaissaient depuis toujours, se promirent de se revoir pendant les vacances et garder contact, se qu'ils firent avec prestance.
James n'avait que 11 ans à cette époque et faisait face à de difficiles problèmes familiaux et d'intégrations, il n'avait jamais connu le besoin et avait toujours eu se qu'il désirait, à part le bien le plus précieux au monde : L'amour.
Patrick se mis sérieusement à pratiquer le sport, devenant de plus en plus maigre chaque mois et finis par atteindre la taille idéale et devenir un beau jeune homme. Au cours de l'année, les 2 garçons étaient devenus inséparables. Il ne pouvait se passer une heure sans que l'un ne donne de nouvelle à l'autre et leur relation était devenue connue de tous... Patrick et James étaient devenus des frères, une amitié inébranlable que personnes n'osaient réellement déranger.
La souffrance
La mère de James adorait Patrick comme son propre fils, elle n'avait jamais pus comprendre l'amour que se portaient ses 2 jeunes êtres malgré leur différence d'âges de 2 ans.
Patrick avait maintenant 15 ans en classe de 2nd es et James 13 en 4ème, ils consacraient leurs week-ends au shopping et au cinéma, mais cela n'était qu'un prétexte pour pouvoir rester ensemble.
James entra petit à petit dans sa phase d'adolescence, d'où le rejet de sa propre personne et de ses parents, la mère inquiète ne cessa d'interroger Patrick sur le fait que sont fils devennait différent, et Patrick lui répondait que tout était normal. James se mit à fumer une certaine drogue : le shit. Il commença petit à petit, et finis par prendre des doses plus conséquentes. Patrick, inquiet, n'osait pas en parler à son meilleur ami et continua de vivre comme si de rien n'était avec un énorme fardeau sur le cœur : l'être qu'il aimait le plus au monde était entrain de se détruire. Le samedi 21 décembre 2003, Patrick se décida à appeler James pour lui proposer de venir passer le réveillon ensemble, mais le téléphone ne répondait pas. Il se hâta alors de passer chez se dernier dans les beaux quartiers de Paris pour en faire la demande. Sur la route, il s'arrêta au coin d'une rue, en face étaient présent une ambulance et un amas de personnes constituant un demi-cercle ayant pour diamètre l'ambulance même. Ne voulant perdre de temps il continua son trajet jusqu'à destination. Il monta deux à deux les marches de l'escalier et frappa enfin à la porte. Elle s'ouvrit, la mère prête à sortir le regarda d'un air grave et lui dit : "viens avec moi Patrick", il n'osa posai aucune questions et suivit la mère de son ami sans un mot. Ils prirent la voiture et suivirent un chemin familier, celui de l'hôpital. Patrick soudain, voyant les larmes de sa conductrice coulait compris se qu'il venait de se passer. Il était 18h25 lorsqu'ils arrivèrent aux urgences, le ciel sombre ne laissait transparaître aucun astres. Â l'accueil, la prononciation du nom de son ami le laissa de marbre. "Oui madame, ce jeune homme vient d'être transféré au bloc opératoire, je vous pris de patienter dans la salle d'attente un médecin viendra vous rendre visite au plus vite". Elle faisait à présent les cents pas dans la salle d'attente, 1 heure passa avant que le père les rejoignit. Patrick plein d'espérance se disait qu'il n'y avait rien de grave, un petit accident aurait pu arriver à tout le monde, mais qu'est-ce qu'était le "bloc opératoire" ?
Le médecin arriva finalement, et expliqua la situation : le cas était critique, les chances de le sauver étaient maigres, James reposait dans un comas profond.
 ce moment je revis tous les moments de ma vie que j'avais passé avec lui... Je me mis dans un coin de la pièce et déversai toute les larmes de mon corps... Je ne ressentais plus l'envie de vivre sur cette terre et les seules pensées qui me venaient en tête étaient celles de mon ami exprimant ses sentiments. Je ne dormis pas de la nuit. Vers 6heures du matin, le médecin revint voir les parents de James et, à ce moment, la mère s'effondra en larme, soutenus par le père, priant qu'on lui ramène son fils...
La délivrance
Tout alla si vite, je me rappelle avoir courus dans l'hôpital de toutes mes forces, entrai dans la première pièce que je vis et m'emparai du premier outil tranchant que je pus trouver, se fut un scalpelle... Me coupai les veines de la main gauche... Je n'avais plus aucune raison d'exister...
2 jours après je me retrouvai dans un lit de ce même hôpital avec au niveau de mes pieds ma mère, me regardant ouvrir les yeux avec une expression de bonheur toute fois génée (en effet aprés une dispute je ne l'avais pas revus depuis 3 mois). Les parents de James m'avaient déposé une lettre au pied du lit, de ces mots je m'en souviendrai toute ma vie : "Christophe, je suis navrée de l'épreuve que tu as eu à affronter, nous nous excusons aux prés de tes parents de t'avoir causés tant d'ennuis... Nous esperons te voir dés ton rétablissement... " et en bas de la lettre tout à droite (on pouvait également y deviner quelque traces de goutelettes d'eau, certainement des pleures) : "ce n'est pas se qu'aurait voulu James... " Des larmes se mirent à couler tout le long de mes joues, et le souvenir de mon ami, mon frère, ma raison de vivre qui venait de décéder me fit encore plus mal... Je ne le reverrai plus...
Après sont enterrement, je lui fis une promesse, celle de venir lui rendre visite le plus souvent possible, c'est à partir de là qu'a commencer ma déscente aux enfers...
Ma vie après
Ma vie n'était plus... Tout plaisirs en moi avaient disparus, je ne ressentais plus rien, aucune haine envers celui qui l'avait renversé avec sa voiture, aucune pitié pour qui qu'onc m'en demandait, j'étais devenus un fantôme errant, ne s'occupant plus de mes problèmes, de rien à part la tombe de mon ami... Je ne pourrais recompter le nombre d'heures que j'ai passé en pleurant devant sa tombe, le plus souvent en séchant les cours... Je m'étais fait expulser de plusieurs lycées et maintenant je me retrouve dans un lycée privé au bord de paris... tentant de revivre, refusant l'aide de qui qu'onc m'en proposerait.
Où je veux en venir
Ainsi la vie est faite d'obstacles à surmonter, que vous soyez, jeunes, vieux, sourds, non-voyants, il faudra les surmontés. Pour moi James représentait se que j'avais de plus cher au monde au-delà de ma propre vie... J'ai appris qu'il avait fumé de la drogue avant sa mort, du jour au lendemain j'ai tout arrêté... Mon mal aise s'est prolongé de plus en plus intensément... Maintenant il m'arrive souvent de regarder les étoiles en ne faisant que penser à lui, je retourne au moins 1 fois par semaines me recueillir sur sa tombe, ne pouvant m'empêcher de pleurer en pensant à lui. Je passe beaucoup de temps avec ses parents sinon je reste dans ma chambre, allongé sur mon lit, lumières éteintes, en écoutant de la musique douce et reposante, laissant parfois échapper quelques larmes de désespoirs... Jamais je ne ferais réellement son deuil...
"Le moyen d'aimer une chose est de se dire qu'on pourrait la perdre" (C. K. CHESTERON), ou même à l'image de ce proverbe italien : "L'amour fait passer le temps, le temps fait passer l'amour..." je pourrais dire que le temps est l'un de nos plus effrayants obstacles... Celui que l'on ne peut franchir... | | |
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Je suis desoler pour les fotes d'orthographes car a ce ke g pu voir ca a fait reagir pas mal de monde (pour ne citer personne).... je v tenter de lui enlever ces petits defaults meme si lors de l'ecriture ce n'etait pas mon intention premiere....
Donc merci a tout le monde, egalement au critikes (meme si parfois ont aimerait les voir ailleur) enfin ca fait kan meme kelke chose sachant ke lon na pas ecris son article sur la forme mais plutot sur le contennus........................... et merci egalement au message de soutient...... | | . Voir tous les commentaires et/ou en poster un (17) |
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