| Elle, moi... Nous ? (3) Un lundi soir de mai, après ma séance de psy que ma fugue vers la liberté commença. Un mot de trop et me voilà dehors demandant à un de mes voisins de m'amener au mée.Après être sortie du cabinet de ma psy, je me dirige vers la voiture, normalement Gil est parti voir grand-mère à Périgueux, je devrais avoir la paix. Ma mère à l'air d'une humeur terrible, elle me montre une lettre du lycée (toute une semaine d'absence tout en étant dans le lycée), les insultes montent elle me prend par les cheveux et cogne ma tête contre la vitre.
Je la hais, elle n'a jamais étÉ là pour moi et maintenant que j'ai 15 ans elle veut diriger ma vie. On arrive à la maison, je me rends malheureusement compte que mon père n'est pas parti, la peur monte dans mes veines et fuse avec la rage. Je file dans ma chambre pour me coucher et faire que le lendemain vienne le plus vite possible. Il arrive, il hurle il balance tout, il me fait peur et je prendS son poinG dans la tronche et là, le mot en trop parT : jamais je ne le lui pardonnerai. Les coups ne sont rien mais il ne l'insultera plus jamais, elle a tenu ma main quand j'allais mal alors qu'elle ne me connaît que depuis quelques mois alors qu'eux, mes parents, ils m'ont laissée seule. Dés qu'il sort de la pièce, je prendS mon sac un sweat et un t-shirt et je sorS par la fenêtre. Mon voisin qui était en train de dîner accepte de m'emmener au mée, et très vite il commence à me rassurer.
Les circées, mon cœur se calme déjà quand j'approche de ces bâtiments. Arrivée à la cage 19 je monte au 4eme étage chez une amie qui m'hébergera/s le temps de ma fugue. C'est Alex qui m'ouvre la porte. Rien qu'à la vue de mon visage brouillé de larme il sait. J'entre et je me pose dans le canapé, je fume une clope. Les larmes arrêtent de couler et je m'endors après avoir fumer un bedo. Je rêve d'elle, de ses bras rassurantS, le lendemain elle termine à 10heures, je rentre dans le lycée pour l'attendre mais je me fait attrapéR. Et me voilà dans le bureau de cette putain de CPE qui appelle ma mère. "Elle termine les cours à 16h45, venez la chercher à la fin de sa journée je vous prie". Puis on me met dans une salle et on me demande d'attendre la récréation pour retourner en cours comme tous les autres élèves, ils sont tellement naïfs, Elsa termine à 10h, mais son père le sait pas, on retournera ensemble aux circées en passant par la forêt c'est tout. Je lui raconte, elle s'inquiète comme toujours, elle me dit de retournéR chez moi , je ne veux pas moi. Elle comprendra/s plus tard; pour l'instant elle me laisse faire.
On passera presque une semaine entre les cours et la sèche la dernière semaine avant très longtemps. J'avais réussi à lui avouer mon passé, à lui avouer les coups et tout compte fait elle comprenait très bien que je ne retourne pas chez mes parents.
Jeudi soir après le barbecue je raccompagne Elsa chez elle, je la prendS dans mes bras la serS fort et je senS que l'on va plus se revoir avant un bout de temps et j'avais raison/s.
Au bout d'une semaine je me rends compte que j'ai sacrifié toute ma vie pour elle et que ses parents qui ne comprennent pas notre amour m ont pris, simplement en verrouillant une porte, le seul reperE qui me restait. Petit à petit je sombrai dans un état de déchet, je fumaiS tout le temps et je m'étaiS envolée dans un monde lointain espérant la retrouvéR. Il y eu quelques fois où l'on se vit de balcon à balcon, il y eu quelques lettres, et puis tout s'arrêta. J'étais partie dans un foyer à Provins et je ne savais pas quand j'allais la revoir. A chaque seconde je pensaiS à elle, j'étaiS comme un enfant perdue dans un monde étranger au sien. Sans elle je n'étais plus rien. Quelques semaines après mon arrivée au foyer, patthoum me téléphona pour me dire que je pouvais appeler la femme de mes rêves. J'étaiS en transe après plus d'un mois et demi/s de séparation. Elle pensait encore à moi: après touT ce qu'elle avait dû subir elle voulait encore se battre pour notre couple. Quand j'y repense je me senS minable, je pleurAIS à moitié je ne parlais que de choses futiles mais j'entendais sa voix, j'avais les mêmes sensations que lorsqu'elle avait chantER au lycée. Nous allions bientôt nous retrouver, normalement cela aura lieu dans une semaine, chez patthoum.
Le jour J arrive, je me suis misse sur mon 31. Je suis anxieuse, j'attends mais elle ne vient pas. Une amie vient me prévenir que son père a appris et qu'il l'a empêché de sortir. La rage bouillonne en moi, je ne laisserais pas tomber, je ne lâcherai pas l'affaire. Je tombe à terre, je ne le laisserai pas faire et j'ai déjà mon plan en tête. Le mardi suivant je débarque au mée, je n'ai presque pas dormi/s de la nuit. Je file chez Koralia je suis pas bien, je lui demande de la faire sortir, elle devrait y arriver, personne/s n'est au courant que je suis là. Elle va voir ce qu'elle peut faire. Quand elle revient, je sent que ça va se faire. Koko, elle part à Melun avec ses parents. J'attends un peu et la porte de l'ascenseur s'ouvre. Elle est là, enfin nous échangeons un long baisser passionné. Que c'est bon de sentir ses bras autour de moi...
Plus jamais je ne la quitterai/s, on passe un super aprèm, mais malheureusement on se fait grilléR au parc, sa mère et sa sœur. Elsa doit retourner chez elle, je prends un autre chemin et je me retrouve en bas de l'immeuble, on monte tous dans l'ascenseur. Tout se passe trop vite, je ne comprends pas, son père, des mots très fortS, elle rentre chez elle. Je me retrouve sur le palier à toquer à la porte pendant 3 heures. Il faut que je réussisse. Après avoir tenter de discuter avec son père, je pense qu'à une chose: j'ai fait des erreurs. Mais heureusement quelques jours plus tard elle m'annonce que l'on peut se voir pendant toutes leS vacances, je suis ravie, j'ai REUSSI. | | |
| . Voir tous les commentaires et/ou en poster un (10) | | Re: Elle, moi... Nous ? Posté par miss sasou le 21/01/2005 17:58:37 | tres belle histoire.....
je te (je vous) souhaite kune seule chose:du bonheur!!
profitez de lavie!!vs vs etes trouvees et kimporte le regar des gens mwa je pense ke tt le monde cherche sa "moitié" (c 1 peu lai kom mot ms bon)et chui bien placée pour vs dire ke c cho a trouver (mm kd c 1 mec...)
dc voili voilou c juste dommage ke larticle fasse tellemen "brouillon" et confus ms otremen...rien a dire!!
bizoux
*sarah* | | Moué , j'aime pasle style Posté par kikoukaki le 13/01/2005 20:48:58 | C'est jolie parcque c'est ton histoire , mais je la trouve trés mal raconter trés confuse et puis je sais pas si tufais exprés pour faire monter les question mais un cout tu parle au masculin un cout au féminin , je trouve cette tentative desastreuse on se perd dans tout ça ! M'enfin heureuse pour toi que tout aille mieux , c'estcarément léssentiel :) | | Moué , j'aime pasle style Posté par kikoukaki le 13/01/2005 20:48:49 | C'est jolie parcque c'est ton histoire , mais je la trouve trés mal raconter trés confuse et puis je sais pas si tufais exprés pour faire monter les question mais un cout tu parle au masculin un cout au féminin , je trouve cette tentative desastreuse on se perd dans tout ça ! M'enfin heureuse pour toi que tout aille mieux , c'estcarément léssentiel :) | | Moué , j'aime pasle style Posté par kikoukaki le 13/01/2005 20:48:20 | C'est jolie parcque c'est ton histoire , mais je la trouve trés mal raconter trés confuse et puis je sais pas si tufais exprés pour faire monter les question mais un cout tu parle au masculin un cout au féminin , je trouve cette tentative desastreuse on se perd dans tout ça ! M'enfin heureuse pour toi que tout aille mieux , c'estcarément léssentiel :) | | Re: Elle, moi... Nous ? Posté par big momo41 le 13/01/2005 12:56:01 | pour repondre a vos questions c'est une histoire vraie nous somme ensemble depuis presque 1an et notre bonheur est presque parfait merci pour vos commentaires
kiss a tous | | . Voir tous les commentaires et/ou en poster un (10) |
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