 | Dead TimeDead Time est la suite de The Crow, présenté sur un article publié précédemment... Dead Time.
James O’Barr, 10 ans après l’œuvre originale de "The Crow" s’était décidé à reprendre sa plume pour confectionner la suite de "The Crow", suite adaptable au cinéma. Mais comme il est dit plus haut, Tim Pope n’eut pas la patience d’attendre la fin de Dead Time pour tourner la suite de "The Crow". Malgré tout, James O’barr a fait paraître, enfin, la suite de la mythique bd. Sur un scénario de John wagner, une histoire de James O’barr, lui-même, et illustrée par Alexander maleev, Dead Time n’est pas réellement la suite de "The Crow", mais le recommencement de l’histoire du corbeau.
L’histoire.
Joshua est un membre de la nation Crow, une nation indienne. Pour s’intégrer, il a adopté le mode de vie des blancs (il vit au xixème) et est devenu fermier. Mais, vers 1860, lui et sa famille sont assassinés par des renégats sudistes. Un siècle plus tard, les meurtriers se sont réincarnés en une bande de motards... C’est là qu’intervient le corbeau, c’est lui qui ramène Joshua à la vie, après cent ans d’attente, pour qu’il puisse enfin venger l’affront qui a été fait à sa famille. Joshua à peu de choses près est complètement différent d’Eric draven. Joshua connaît le corbeau, c’est son seul lien entre le monde des réels et son monde. Le corbeau, d’ailleurs, dans cet album n’est pas représenté que sous forme de rêve (cf. The Crow) , il est bien présent physiquement, et il a même pris la parole. Alors que quasiment jamais il ne s’adressait à Eric, maintenant, il parle directement à Joshua. Pour ce qui est du style "Dead Time" est plus loin de celui de "The Crow". Les images sont faites plus floues, excepté le personnage principal Joshua, qui lui reste toujours droit fixe. C’est un style un peu photographique... C’est vrai que les "The Crow", autant le premier que le deuxième se rapprochent beaucoup de story board d’excellent qualité. "Dead Time" est incontestablement ce que l’on devrait nommer "The Crow 2". Bien que l’auteur se garde de trop reprendre des idées de son premier chef d’œuvre.
Conclusion.
"The Crow" st un livre ouvert. Même si certains ne savent pas trop ce qu’ils peuvent y trouver, il est très intéressant d’y jeter un coup d’œil. Les inspirations, les sentiments, le vécu que l’on y retrouve suffisent à vous faire adorer cette histoire, qui, il faut bien l’avouer, peut faire réfléchir... a ceux qui ne connaissent pas "The Crow", renseignez-vous chez Disjoncteur. | | |
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