Une p'tite histoire juste comme ça, parce que la vie est belle, parceque j'aimerais peut-être avoir un ange-gardien moi aussi...
J'aimerais dormir, j'aimerais vraiment, mais je ne le peux pas, je ne le peux plus. Ca a commencé il y a environs une semaine, peut être plus je ne sais pas, je ne sais plus. Depuis cette maudite nuit, où il m'ait apparut. C'était un garçon, jeune, assez beau. Je me souviens de lui dans les moindres détails, parce qu'il représente exactement le type même de garçon que j'aime : des yeux doux et perçants à la fois, un air un peu nounours dû à un visage rond, et une petite barbiche, un corps assez imposant, mais pas gros, rond, comme le visage, et pas obèse. Il était habillé comme tous les gens de notre époque, du moins tous les jeunes. Je ne sais pas comment il est apparut dans mes rêves, car je ne sais plus comment je me suis retrouvée en face de lui. Il me regardait, il ne me jugeait ni ne me détaillait, il me regardait simplement, et attendait que je fasse un geste, ou peut être que je parle.
Mais je ne disais rien, j'étais avant tout étonnée et surprise de me retrouver là, en pleines possessions de mes facultés intellectuelles, devant cet être que je ne connaissais même pas de vue. Alors, comme je ne parlais pas, il me sourit, et commença à parler :
"Je sais que tu te demande ce que tu fais là, mais ne t'inquiètes pas, ce n'est pas un cauchemar, c'est encore un rêve, je me suis permis d'y venir, car je sais que tu as la faculté de pouvoir te libérer de tes cauchemars. Tu te demandes qui je suis, sûrement. Je suis Aviso, et tu ne me croiras probablement pas, mais je suis ton ange-gardien. Je sais que c'est dur à comprendre, que tu ne vois pas pourquoi je viens te voir maintenant, pourquoi je te dérange dans ton sommeil. Vois-tu, la haut, on m'a confié ton cas récemment, et mon rôle, est de te libérer.
- De quoi ? Qu'est-ce que c'est que ces histoires ? Je rêve, là c'est pas possible, oui, c'est ça, je rêve...
- Ne commence pas à t'enfoncer dans ton réalisme excessif, ai confiance en toi !
- JE VOIS PAS LE RAPPORT ! Lui criais-je au visage.
- Si, et tu le connais ce rapport, pourquoi ne crois-tu pas ce que tu vois, pour une fois ? Je suis là pour ça, pour qu'enfin tu comprennes que tu n'es pas inférieure aux autres.
- C'est pas possible, c'est quoi ce bordel ?
Non, tu ne rêves pas. Je suis réel, du moins autant que ton esprit me le permettra. Et tant que tu ne comprendras pas ce que je viens de te dire, je resterais ici, et chaque nuit, je serais là, pour toi, pour te parler. Pour comprendre ce qui se passe dans ta tête, pour que tu n'ouvres pas assez les yeux !
- Mais, je suis réaliste, mes yeux sont ouvert vous pouvez me croire, et d'abord, je penses déjà que je rêve de trop. Il m'arrive de trop espérer, alors si ce n'est pas de l'optimisme ça ?
- Ne te contente pas de ce qu'on te donne vas toujours en demander plus, à toi, aux autres. Prends ce qui te reviens de droits, si on ne te l'accorde pas, mérites le, mais ne baisses pas les bras comme tu le fais si souvent, en croyant que ça arrivera tout seul, car ce n'est jamais le cas.
- C'est stupide, je rêve là, je rêve, rien n'est réel."
Et c'est à ce moment que je me suis réveillé, et comme cet homme m'avait prévenue, chaque nuit, il est revenu dans mes rêves. Il ne me retient pas, dès que je le veux, je me réveille. Mais je ne me rendors jamais. Maintenant, j'évite même de dormir, c'est plus simple. Je ne veux plus le voir, ni l'entendre, ses mots ne sont jamais méchants, mais ils me blessent au plus profond de moi. Et à chaque fois, il m'intime l'ordre de me battre avant de disparaître. Je ne sais vraiment pas pourquoi c'est toujours à moi qu'il arrive des tuiles pareilles
C'est la première fois que je publie ce que j'écris, et je sais que je suis pas douée, mais je trouve cette histoire très belle. |