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Corne de fer, l'histoire


Corne de Fer, a mi-chemin entre "20 Mille lieux sous les mers" et "l'affaire Carthage", elle vous promet du suspense, des rebondissements et surtout des coups d'états... A découvrir absolument.



Ces évènements se sont passéS il y a à peu prés 5 annéeS et ont INspiré beaucoup de rumeurs et font coulER beaucoup d'encre. Je vais vous racontER l'originale en me rapportant au journal personnel du professeur Marcus Martin qui est le principale témoin. Voici ce qu'on pouvait lire dedans en bref.
Mais tout d'abord la présentation du professeur Marcus Martin s'impose. Il est l'un des rares chercheurS scientifiqueS sur les fonDs marins connu dans le monde Il a enseigné dans les plus prestigieux instituts réputée en France et ailleurs... Car c'est un parfait connaisseur de la biologie sous-marine.
Tout a commencé en 1998 ou plusieurs cargos de fioul ont été couléS mystérieusement partout dans le monde avec seul un gros trou au font de la cale comme indice. Des rumeurs diseNT qu'un étrange animal pourvu d'une corne aiguisée aurait été à l'origine du trou. C'est alors qu'on le surnommAIT"Corne de fer". C'était tout de même à confirmer puisqu'on ne pouvait pas expliquer sa furtivité sur les écrans radars.
C'est alors que plusieurs armées internationales furent consacrées à capturer l'animal.
Le 28 Juillet 1998 une lettre fût envoyée au professeur Martin qui disait :


(Paris Le 25 Juillet 1998


Cher Pr. Martin


Nous vous invitons amicalement à nous joindre dans notre expédition pour traquer et capturer "l'animal". Votre aide nous sera d'une grande utilité surtout pour l'intérêt général. Vous seul le pouvez à cause de l'indisponibilité de vos collègues.
L'amiral Lecoq du navire "l'espérance", pour vous servir. A bientôt.

Amiral Lecoq
P. S : Le navire quittera le quai 18 à 12H le 30 Juillet.)


"Quel culot: me dérangER dans mes vacances pour accompagner l'armée, mais il faut croire que je m'y attendais, se disait le Professeur."
Il fallait boucler les valises au plus vite et rejoindre le quai a l'heure.
En arrivant, a 11 : 30, il constata que le navire était en cours de ravitaillement et aussitôt que les yeux du professeur euRENT croisé ceUX de l'Amiral qu'il se précipita pour l'accueillir,
C'était un homme maigre, élégant et se cachait derrière des lunettes noires rondes. Après la présentation des passagers, les amarres du navire furent levées et le navire pénétra dans la haute mer.
Après une nuit de repos dans la cabine le professeur Martin se dirigea vers la buvette du pont supérieur ou il fit la connaissance d'un homme qu'on surnommAIT Marc Lacible car il pouvait atteindre n'importe quelle cible a plus de 30 mètre de distance d'où venait son nom: il avait remporté beaucoup de médailleS olympiques. L'amiral estimait qu'il serait d'une aide précieuse dans cette aventure.
"Moi de toute façon je n'y crois pas à ces contes de fée, à un monstre haut comme deux immeuble qui a une corne indestructible, c'est fini le temps Gozilla !!! Interrompre mes vacances en Australie pour capturer l'insaisissable.
-Mais pourquoi diable vous êtes venu alors si vous n'y croyiez pas. Et je vous signale que ces créatures de ce type ont autre fois existé[e], au Jurassique. Alors il y a de forteS chanceS que l'un d'eux a survécu, répliqua le professeur, scandalisé.
-Je passerai dans ce cas pour un traître, aussi je ne vois pas mon rôle dans cette histoire, Je n'imagine pas neutraliser une créature du Jurassique qui a survécu à des pluies de météorites avec de simples fléchettes, répondit Marc.
-Ne vous en faiteS pas pOur l'artillerie car on a ce qu'il faut. Suivez moi messieurs, disait une voix derrière nous."
C'était en fait la voix de l'amiral qui nous invitait découvrir l'armurerie.
Il y avait beaucoup d'armes sophistiquées QU' il est rare de sE procurer comme des fusils SNIPER, des M4, des Tommy Guns, avec des caisses remplieS de munitions dignes de la guerre du Golfe, des lance-roquettes, des lance-flammes, bien que ça ne soit pas efficace en ce milieu.
TouT le mondes était ébloui devant de telleS richesseS quand soudain : "Hum... Hum !! Un peu d'attention s'il vous plait je vous prie de me suivre dans le compartiment le plus sensible du navire car il contient notre arme ultime, aussi je vous demanderai[s] d'éteindre vos cigarettes, disait l'amiral avec distinction.
-je suis impatient de voir ça car je ne vois pas ce qui devrait être plus sensible que ce compartiment."
Tout le monde suivait l'amiral d'un pas précipité dans la chambre forte après que ce dernier eut le temps de composER le code de sécurité.
En y entrant tout le monde constata qu'il n'y avait qu'un objet caché sous un long bout de tissu militaire.
"Approchez mes amis je vous présente "L'OISEAU DIABOLIQUE", il a été conçu spécialement pour cette mission par des chercheurs russeS, Sa particularité se résume Au fait que C'EST une bombe nucléaire miniature. Bien sur son effet a été contenu pour éviter tous résultats désagréables, Aussi nous devrons l'utiliser qu'en extrême nécessité[e], dit l'amiral après avoir soulevé le bout de tissu.
-Ah... Avant que j'oublie, vu la délicatesse de la mission et des armes, touT le monde devra[s] suivre des cours de tirs tous les jours a 15H, votre présence est obligatoire, merci pour votre patience, vous pouvez regagner vos chambre. Et bonne nuit, ajouta l'amiral fatigué."
Après le discours de l'Amiral tout le monde a rejoint sa chambre où chacun sombrA dans un profond sommeil.


L'aventure

Le réveil fût difficile. Le bateau se trouvait maintenant dans l'atlantique après avoir été dans la méditerranée. Tout le monde se trouvait dans la salle à manger du pont supérieur.
Une fois tous les 3 Heures, l'amiral répétait les même informations dans le haut parleur "nous somme le 31 Juillet, 11H, parfaite condition de voyage, aucun signalement récent du phénomène, n'oubliez surtout pas le cours de tir, à plus tard."
Le professeur était entrain de discuter avec Marc :
"Hé... Psst. Professeur, Ne croyez vous pas qu'on court un grand risque avec ce missile a bord, chuchota Marc dans l'oreille du Pr. Martin.
- Oui, en effet je le trouve aussi, on n'est jamais trop prudent même quand il est dans un coffre-fort... VaS tu vraiment participer a ce cours de tir, voyons t'as déjà dépassé ce stade la, vu tes capacités ? dit le professeur.
- Oui vous avez raison je vais contacter l'amiral pour le lui dire, j'espère qu'il ne le prendra pas mal, admiT Marc.
- Je t'accompagne car j'ai à lui parler moi aussi, répliqua le professeur."
Après avoir reçu la permission d'entrer, Marc et le professeur pénétrèrent dans la salle de commande. C'était une vaste salle avec les machinEs les plus sophistiquées, beaucoup d'écrans de contrôle, des centaines de boutons, et au centre de la pièce, un levier qui sert à diriger le navire. L'amiral les accueilliT avec joie, car il faut dire qu'il est extrêmement courtois particulièrement avec le professeur Martin.
"Entrez... Que me vaut l'honneur de votre visite ? Mais d'abord, voulez-vous boire quelque chose ?
- Merci amiral, Marc et moi-même avons à vous parlER, a vous l'honneur Marc... Allez commencez, dit le professeur Martin.
- Eh... Eh bien je suis un peu embarrassé amiral car je ne vois pas la nécessitÉ d' assister à ce cours très basique, s'exclama Marc en rougissant.
- Oui... Oui, je vois, à vous cher professeur, répondit l'amiral.
- C'est à propos de notre itinéraire je ne comprends pas votre programme, interrogea le professeur.
- Oui je comprends vos problèmeS, maintenant place à la solution. JE commence par vous Marc, puisque vos capacitéS sonT supérieurES au cours ,la solution, si vous n'avEZ pas d'empêchement, serait que vous assistiez toute personne ayant des difficultés en la matière. Quant à vous professeur, le plan du voyage consiste à se promener a droite et a gauche en attendant de recevoir une alerte radio signalant l'apparition de "la chose" pour intervenir. Bien sur il y aura des escales dans différents pays. Bon il se fait tard, les passagers doivent s'impatienter pour le cours de tir. on y va, répondit l'animal
- Merci pour ces précisions Amiral, dirent Marc et le professeur."
Le cours était ennuyeux à mourir. Ça se passait dans une grande salle où il y avait des cibles mobiles plus ou moins petites, les tirs s'effectuAIent avec des balles en plomb.
Marc s'amusait comme un fou : il corrigeait la position deS passagers, chargeait ce pistolet, nettoyait celui la.
Le professeur se débrouillait plutôt bien car il touchait la plupart des cibles surtout les moins mobiles.
Après 2 heures d'entraînement, chacun regagna sa chambre pour se reposer puis alla dîner dans la salle à manger.
TouteS les journées se ressemblaiENt jusqu'au 17 Août. L'amiral réuniT d'urgence tous les passagers du navire : "Messieurs, un appel radio nous est parvenu de l'organisation mondiale de la sécurité, l'O. M. S, disant que deux bateau portant chacun 6 tonnes de pétrole viennent d'être couléS DE la même manière. ils ont envoyé des patrouilles pour quadriller la zone du drame en attendant notre arrivéE, car nous seulS avons les atouts pour affronter le phénomène, préparez vous, nous y serons dans 3 journées.
- C'est bizarre Marc, ne remarquez-vous pas que tous les navires coulés sont des pétroliers... Cela voudraiT dire que s' il existe bien un monstre il devait détester le pétrole ... A présent nous avons un portrait assez clair du monstre, je préfère faire des recherches a partir de ce portrait, dit le professeur songeur.
- Oui c'est plutôt bizarre... Bon moi j'ai à accroître mes réflexes si je risque d'être nez à nez avec un monstre, dit Marc avec un air rêveur.
Chaque passageR travaillait d'arrache-pied pour se préparer à l'affrontement du 21Août, une grande partie préparait les armes, d'autreS préféraiENt se perfectionner au tir avec Marc, l'amiral quant à lui, suivait attentivement les appels radios.
Le 21 Août, 9H du matin, le bateau était en vu des patrouilles, tout le monde était grandement déterminé.
"Préparez-vous, dit l'amiral, il peut surgir n'importe quand, surtout n'ayez pas peur, il n'y a aucune chance que notre bateau soiT troué: il est blindé."
Après 5 heure d'impatience et de stress, quelque chose surgiT du font de la mer : C'était un gigantesque poisson avec des écailles brillant à la lumière et avec une grosse corne pointue. Le sang des spectateurs n'a fait qu'un tour; personne n'a pU réagir devant cette scène, sauf Marc qui s'est saisi d'un M4 et a commencé a canardER le monstre, TouT le monde ne tarda pas à le suivre. Mais cela ne fiT ni chaud ni froid au monstre. Quand soudain, il chargea le bateau a coups de corne, tentant de le renverser, et après quelques vaines tentatives il disparu au fond de l'eau.
L'amiral était déçu mais optimiste car il venait touT juste à faire la connaissance du monstre et ne s'est pas servi du missile.
"Amiral ! Amiral ! J'ai quelques choses d'important à vous dire, cria Marc.
- Allez y parlez, j'espère que c'est une bonne nouvelle, dit l'amiral.
- C'en est une, car j'ai eu le temps de planter un émetteur G. P. S [GPS pur global positionning system], appareil servant à déterminer la position exacte sur le globe employant la latitude et la longitude] dans le monstre avant qu'il ne plonge, répOndiT Marc.
- C'est magnifique on va pouvoir suivre l'animal[e] à la trace, s'exclama l'amiral, je contacte immédiatement l'organisation de la sécurité mondiale.
- Ah en faite, a qui d'autre avEZ- vous fait part de cette information ? ajouta l'amiral/e.
- Seulement au Professeur Martin et Vous. RépondiT Marc.
- J'aimerais que ça soit discret, car voyez vous, je crains que les foules se précipitent là-bas avant nous et ça sera catastrophique, je compte absolument sur vous. conclut finalement l'amiral.
Le professeur, quant a lui, était épaté de voir ça d'autant plus que c'était une espèce non répertoriée et il était d'autant plus content quand Marc lui avait annoncé qu'il avait implanté un émetteur dans les écailles de l'animal/e.
Il n'aurait fallu que trois heures et demie pour voir le signal/e de l'émetteur sur l'écran dans le navire.
L'amiral avait fait une escale en Irlande où le navire s'est ravitaillé et les passagers sont allé faire quelques courses, le professeur s'est acheté un appareil photo et du matériel d'escalade comme le lui avait dit l'amiral.
Après dix jours de repos le bateau repris son voyage, destination le golfe du Mexique où se trouvait le monstre.
Le 13 septembre, le bateau était en vu des côtes rocheuses du Golfe du Mexique ; l'amiral et cinq des passagers dont Marc et le professeur Martin descendirent dans un ZodiaC pour pouvoir progresser car il y avait trop de rochers. Ils ne tardèrent pas à accoster dans une petite péniche car, d'après l'écran radar, le monstre devait se trouver dans une grotte.
L'équipage escalada alors les parois graniteuses des petites montagnes, arriva au sommet et se miT à explorer les environs. Soudain, une crevasse s'ouvrit sous 3 explorateurs et la chance vouluT que ça soit l'amiral, Marc et le professeur.
Après s'être remis de leur chute, les trois camarades réalisèrent qu'ils étaient dans un laboratoire sophistiqué avec des instruments à la pointe de la technologie. Soudain, ils entendirent un cri qui venait de l'extérieur, c'était leur compagnon qui les appelait pour se rassurer. "La corde est trop courte, le plafond est trop haut, dit l'amiral, allez chercher une plus longue dans le bateau, cherchez aussi des secours.
- Tiens bon on arrive, au plus tard, dans trois heures.
- En attendant il devrait y avoir une autre sortie par ici, dit Marc en s'adressant au professeur et à l'amiral.
- Sûrement, mais il faudrait qu'on soit prudent, car aucune carte ne signale cet emplacement, répondit le professeur."
Les trois explorateurs quittèrent ce labo pour se trouver dans un autre labo identique au précédent. De même pour les deux suivant ; quand soudain, ils entendirent une brève discussion : "Tu crois que ce bateau peut nous causer des ennuis, dit l'un méfiant.
- Non, aucune chance on est bien protégÉ ici; c'est inutile de s'en méfier, dit l'autre déterminé.
- Arrêtez de causer et venez m'aider à réparer l'OILDESTROYER 9000, il doit être prêt dans les deux jours qui viennent, ces imbéciles ils n'ont rien trouvé de mieux a faire que de canarder leur monstre avec des armes; quels lâches, dit une troisième voix furieuse."
"Ce dialogue se passait en anglais et il était clair qu'ils parlaient de notre bateau, écrit le professeur dans son journal"


La fin

Quelques Minutes se déroulèrent avant que les trois hommes quittèrent leurs postes pour réparer leur machine ce qui profita auX trois autres pour continuer leur exploration, le choc fut terrible lorsqu'ils ouvrirent une porte qui se trouvait au fond d'une vaste salle. Il y avait en fait le monstre relier par des centaines de fils électriques, il paraissait moins visible, c'est la que toute l'histoire est devenu claire.
Marc et l'amiral et le professeur foncèrent sans hésiter sur les cinq hommes visiblement pris par surprise ; Marc à lui seul en a assommé trois, le reste pour l'amiral et le professeur.
Ce dernier pris des dizaines de clichés du monstre, des appareils, des labos et des employés assommés pour les transmettre aux journalistes.
Quelques minutes se déroulèrent avant l'intervention des secours et les agents de l'O.M.S. qui arrêtèrent les malfaiteurs.
Enfin l'organisation de la sécurité mondiale déposA plainte auprès des Nations Unies contre les Etats Unis d'Amérique/s, ce qui entraînA la démission du président américain Paul Stevenson.
Le monstre faisait la une des journaux avec des entretiens avec les passagers et grand/s nombre/s de témoins, surtout avec les photos faites par le Professeur Martin.
"Le grand mystère du perceur de pétroliers a été percé.
CE SONT les USA qui ONT fabriqué une machine blindée capable de percer les pétroliers afin d'augmenter la dépendance pétrolière a l'Amérique. L'appareil[le] dite OILDESTROYER 9000 a été appréhendÉE par les Nation Unies et les responsable de cette affaire ont été arrêtéS. D'autre part le président Stevenson a annoncé sa démission dans la maison blanche."

FIN
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