Extrait du site https://www.france-jeunes.net |
Vous ne trouvez pas qu'il y en a marre des topics et du superficiel ? |
C'est juste pour savoir si tout ce qui vous intéresse c'est le tour de poitrine de Monica Belluci, ou si une discussion sans topics éhontés pouvait être possible ? |
Bref ceci est un bout de prose un peu métaphorique ou les phrases prennent un sens diffrent selon l'interprétation du lecteur. Les murs se sont écroulés depuis bien longtemps Viens brisons les pierres et enterrons les Et faisons de la terre récoltée Le monde qui monte et tourne gentiment De nos pauvres cerveaux éberlués Puisons l'image et le mot, l'inspiration Accroche toi a la plume de l'oiseau fée N'entends tu pas la rage de l'eau en fusion Respire, regarde, oublie la panique Ecoute les silences vagues entre les voix Laisse glisser tes rêves vers la note magique Elle ne sera utile que pour toi On n'a pas oublié ce que l'on est C'est juste le vent qui l'a recouvert Des ces bouts du temps écrasées Ne reste que les larmes tombées dans la terre Dors et danse sans crainte avec le vide, Demain il sera toujours contre toi Les murs se sont écroulés je crois Mais l'atmosphère reste terne et insipide Ferme les yeux laisse aller tes mains L'obscurité n'est la que pour cacher Les bombes qui tombent sans fin Sur ce tapis de sang maculé Regarde au loin la vie se couché Bientôt obligée de ramper sous le sol On se protège de demain dans nos camisoles Mais demain ne pensera plus aux rires hallucinés Les scénarios qu'ils ont écris n'étaient pas pour les bons acteurs Le serpent finit toujours pas s'échapper, étonné l'homme meurt Ils ont utilisés les mots pour ne pas avoir peur de leurs erreurs Le bourreau dort mieux, il n'est plus que l'expression de la terreur Parés dans leurs costumes de foi, ils croisent le fer et la croix Mais les miracles ne poussent pas sur un sol de plomb La lumière ne se crée pas dans l'explosion Confondre croyances et connaissances n'était pas très sage choix. Puissance et noirceur se fondent avec une terrible douceur L'enfant roi n'a plus peur, son trône est armé contre l'extérieur La forteresse tombe, le ciment de la peur ne retient plus ses pierres Les murs se sont écroulés mais la nuit les fera renaître de la terre La chute sans fin de l'oiseau sans aile vide rien peur recherche élégance du toucher Profondeur de la note qui virevolte Rebondit avec toute la grâce qu'elle dispose Elle se fait élément, fuit les océans Pour danser avec les ruisseaux. Le vent n'écoute plus il pleure La lame de la perfection a déchiré les contours de ses nuages, La musique provoque s'enfuit et se cache Revient de peur de ne pouvoir repartir D'un seul coup, elle s'accroche se trouve et grandit Effrayé par son ombre elle s'étend se répand se déchire L'enveloppe se développe gronde sournoise et éclate de rire Se moquant ouvertement de son comportement désabusé De son rythme indécent De son tempo provocateur, De son ton sensuel, Toujours l'énergie semble se puiser dans l'écho, Elle voit le miroir de son futur avant qu'il ne lui renvoie son image, Elle repose en équilibre sur un fil résonnant, Son poids fuit la gravité elle n'est que le reflet d'un rêve en noir et blanc, La main imprime l'âme du musicien sur les ondes du ciel Et les rend aussi légère qu'un ange au réveil Le cœur vidé dans l'abysse de ce rêve. On s'arrête toujours un peu avant d'avoir atteint le but parce que le moment le plus délicieux c'est celui qui précède l'achèvement de sa volonté. L'homme divague sur le dit vent Il n'écoute plus, de suite il se rend L'œil fatigué de ne plus s'ouvrir, Recréé l'image comme il l'entend. La masse d'âme glisse sans bruit sur les rails, L'inertie de l'ennui propulse les flots de la salle, Les hommes étonnés de leurs armes par la taille S'en serviront pour fleurir leur propre dalle Les voyant jouer avec leur faucheuse personnelle On constate qu'il ne leur manque que les ailes Petits apprentis angelot, le démon souffle trop fort pour eux Dans les tréfonds de leur cerveau, consommation sert de deuxième hypophyse, et lentement les hypnotise Ils est loin le temps de l'instant originel Toute magie fui le monde depuis que l'on sait la terre ronde Un abîme de bruit dans un puit de silence Une octarine mordorée et chatoyante de milles crépitements De jeunes loups en colère se mordant encore la queue Effrayés, encore un instant par leur reflet dans leur miroir Tantôt excités et apeurés presque déférent envers leur futur savoir Remuant l'inconnu du bout du pieds, a peine, de peur de voir surgir ce qu'on attendait Hennissant contre les problème éthique alors que tout est mesure Ne comprenant pas que tout ce qui est possède son contraire Ignorant la dualité du monde il fonce dans l'excès Ouvrant la boite de pandore sans préparer son cerveau, comme elle Il fut surprit, épouvanté, et laissant s'échapper sur sa propre planète Tout les maux humains, il s'enfonça dans ce qu'il connaissait, sa raison... Les êtres de cristal sont nos amis, nous, et leur cris se perdent dans la mouvance infinie de l'univers et se mêle a la trame purpurine de ce qui est ... Tantôt repu et tantôt vide en étant plein Nos âmes sourdes murmurent une mélopée transcendantale Reflet étouffée de ce qui est la mélodie de l'univers Palpitant en haut de la plus grande montagne, l'esprit humain s'apprête a prendre son essor Afin de s'envoler vers un lac pur et miroitant d'une sérénité majestueuse Une onde limpide et curieuse, et ainsi, embrasser la connaissance d'un univers totipotent de possibilité de consciences de vies de Parallèles de boucles de fractales encore imperceptibles Du gros et gras ver terrestre il sera alors propulsé au rang de papillon cosmique et ira butiner les fontaines de la connaissance L'enthalpie colorée de nos vibration me laissai entrevoir le paradoxe démentielle dans lequel l'esprit humain s'enferme Rivières glacées des amères chaudes, particules de vibrations Bête furieuse sage, Ange Déchu, porteur de lumière des ténèbres Noir éclatant, dans la lumière est le noir, l'hombre est source de lumière Aveuglante obscurité, la lumière aveugle l'ombre révèle les détails et repose l'œil Ne suivez pas la lumière rappelez vous les papillons qui se brûlent Ecouter le chant des étoiles et le hurlement des grands courant intergalactiques Entendre la montagne chanter quand le vent la caresse Sentir les vibrations des éclairs dans une tempête d'été. |
Extrait du site https://www.france-jeunes.net |
Tous droits réservés |