Extrait du site https://www.france-jeunes.net

Où va le monde imaginaire ?


L'imagination est détruite de nos temps par la poussée commerciale qui nous impose des représentations et qui nous empêchent d'extrapoler et de rêver.



Harry Potter connait un succès grandissant depuis la sortie du premier tome et celle du cinquième en anglais.
Depuis la sortie du premier volume en film, les lecteurs sont partagés. Certains refusent de voir leur monde imaginaire supprimé et ne acceptent pas la commersalisation de leurs héros. D'autres, curieux vont visionner cette interprétation du livre qu'ils ont lu et sont le plus souvent un peu déçus, car certaines scènes ont été coupées. Ceux qui ont été trop parresseux pour lire le livre seront peut-être encourager à lire la suite ou attendrons le prochain long métrage.
En voyant la réussite de l'audience, on profite de mettre en vente des jeux pour gagner de l'argent, mais à ce moment l'idée du départ a disparu. Ce n'est plus pour enchanter les lecteurs, pour faire profiter les enfants, pour simplement permettrede s'évader, c'est plus que pour l'argent que l'on fabrique des jeux.

Puis voyant le succès grandissant on continue à produire et l'on invente des tonne de publicité. On ne pense plus qu'à gagner et pour garder cette audience on reporte les délais de parutions.
Les personnes n'ayant plus de quoi satisfaire leur imagination, se rabattent sur les jouets, et autres accesoires ayant un quelconque rapport avec, en l'occurence, Harry Potter. Ils oublient qu'ils existent un monde dans leur tête où se trouve leurs rêves.
Les seuls qui profitent de cette gloire, ce sont ceux qui en rettire quelque chose. Il y a, bien entendu, les acteurs du film, mais aussi tous les producteurs de toute la publicité.
Par cet article, je veux que l'on se rende compte que l'on a en soi un monde imaginaire qui ne demande qu'à être cultivé. Il faut l'entretenir si l'on ne veut pas sombrer dans un monde de marketting pur.

Voici un conseil pour conserver notre petit monde imaginaire : n'oubliez pas de lire pour l'abreuver.
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