Viens, à moi, laisse-moi défaire la pâtine du temps
De nos cœurs embastillés
Dans tous ces lieux où je te souhaitais, prisonnière de l’étreinte des draps
Blancs.
Dans tous ces ciels où j’y voyais tes yeux,
où tous ces soleils s’étaient égarés.
Dans tous ces lieus où je te souhaitais.
Viens à moi.