| La bêteJ'ai écris cette nouvelle en 15 minutes. Mon record. C'est une histoire très spéciale, qui laisse réfléchir lorsque on a fini de la lire...Il ferma les yeux. Les bras tendus, il pointait l'arme en direction du monstre. Sa main tremblait, mais la seule vue des cadavres à ses pieds lui donna le courage d'appuyer sur la gâchette. La bête gémissait dans un coin de la chambre. Couverte de sang, le garçon ne lui avait pas laissé finir sa proie. Un second coup partit, mais ne fit aucun effet sur le monstre, qui commença lentemment à s'approcher de lui. Dans son mouvement de recul, il vida tout son chargeur en direction des gémissements. Mais il savait qu'il ne pouvait rien avec un ping-ball contre cette chose horrible qui avait éventré ses compagnons de chambre. Il se remémora ce qu'il s'était passé : l'alarme du pensionat; lui et ses deux amis dans la chambre, qui avaient tardé à se lever, croyant que c'était une simulation d'incendie; et puis la fermeture automatique des portes anti-feu de la chambre. Ils étaient hermétiquement enfermés. Ils ne furent conscient du danger, seuleument lorsqu'ils aperçurent les deux yeux rouges de la bête, les regarder fixement. Au bout d'une minute, l'animal, l'animal ne montrant aucun signe d'hostilité, ils finirent par s'approcher prudemment. C'est à ce moment là qu'elle sauta au cou de l'un d'eux, l'égorgeant d'un coup de dent. Leur compagnon ne souffra pas longtemps, car la bête eu vite fait de découper des morceau de chair dans le corps encore chaud du jeune garçon. L'horreur gagna les deux autres qui allèrent se cacher, tout en regardant la bête se nourrir. Ce qui se passait sous leurs yeux était véritablement atroce. L'odeur du sang empestait la pièce qui ne renouvellait pas l'air. S'armant des choses les plus pointus qu'ils purent trouver, et prenant leur courage à deux mains, ils se jetèrent sur le monstre. Un combat des plus plus sauvages commença. Mais il ne fallu pas longtemps à la bête pour égorger un deuxième garçon. Le dernier réussit toutefois à planter un compas dans la chair de l'animal, qui dans un rugissement alla se réfugier dans un coin sombre de la pièce. Le garçon savait qu'elle le regardait. Léchant ses plaies, elle attendait un moment d'innattention du jeune, pour le tuer. Il le savait, et n'allait pas la laisser faire. Il s'arma de son ping-ball qu'il avait apporté illicitement à l'internat, et visa la bête...
Elle s'approchait de plus en plus. Lentement, mais sûr d'elle. Une étincelle de joie brilla dans ses yeux rouges sans pupilles. Il entendit le déclic de la porte qui se se déverouille, mais c'était trop tard, il n'eu même pas le temps de crier, que la bête était déjà sur lui et...
... le réveilla en sursaut.
- Crapule va-t'en ! s'égosilla le garçon.
Mais il n'eu pour toute réponse qu'un coup de langue en travers de la joue. Repoussant l'animal il se leva. Son chat faisait sa toilette. Il l'appella. Mais lorsque la tête de l'animal pivota dans sa direction, ce n'est pas deux yeux verts à pupille vertical qui le fixèrent; mais deux yeux rouges sang, sans pupille, qui le regardait d'un air de défi...
FIN. | | |
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